Le Conseil fédéral veut faire de la Suisse une colonie de l’UE
Après l’échec de l’accord-cadre, les diplomates travaillent déjà sur le prochain traité colonial pour notre pays ; ils aimeraient bien nous faire entrer dans l’UE. Nous devons nous y opposer de toutes nos forces.
Ils parlent de « mandat », de « paquet global » ou de « Bilatérales III », ils n’ont pas encore trouvé de véritable nom. Pourtant, ce dont il est question est clair : Il s’agit des mêmes règles institutionnelles que celles qui figuraient déjà dans l’accord-cadre :
1. Reprise automatique de toutes les
réglementations actuelles et futures de l’UE.
2. Subordination explicite à la Cour
de justice européenne.
3. Paiement d’un tribut à l’UE.
Nous ne le permettrons pas ! Nous ne renoncerons jamais à notre liberté et à notre autodétermination, qui sont la base de notre prospérité. L’UE, en revanche, est une entité centralisatrice, sans fondement démocratique, qui impose toujours plus de lois bureaucratiques à ses membres. Avec la relance de l’accord-cadre, la même chose se produit chez nous. Et si nous ne réagissons pas, les mesures pénales sont également prévues dans le traité.
Le Conseil fédéral doit retirer son mandat
Non, nous n’avons pas besoin de la tutelle des commissaires européens ! Nous voulons décider nous-mêmes. Nous savons mieux que quiconque où le bât blesse : l’immigration incontrôlée, le chaos de l’asile, les finances publiques hors de contrôle et les utopies climatiques de la gauche rose-verte qui coûtent des milliards. L’accord avec l’UE ne résout pas tous ces défis, il les aggrave même !
Le comble de tout cela, c’est que nous devrions également payer des milliards de francs aux programmes de l’UE et pour la cohésion. Malheureusement, l’UDC est une fois encore le seul parti à s’opposer résolument à cet asservissement. Nous devons d’autant plus mobiliser nos forces et lutter pour une Suisse forte et indépendante ! Nous exigeons du Conseil fédéral qu’il retire ce mandat et qu’il fasse enfin comprendre à l’UE que tout cela ne sera jamais, au grand jamais, envisageable pour le peuple suisse.