La Suisse a besoin de l’UDC !
Notre parti est plus important que jamais. Je suis très reconnaissant d’avoir pu apporter ma contribution à la présidence de l’UDC, pour que notre merveilleux pays reste libre, sûr et autonome.
Ceci est mon dernier éditorial en tant que président de l’UDC Suisse. Je tiens tout d’abord à vous remercier du fond du cœur ! En tant que membre ou sympathisant, vous contribuez largement au succès de notre parti. Car nous sommes le parti du peuple, et non pas un parti socialiste ou un parti de gauche caviar, comme on le dit en France. Nous défendons une politique qui place les citoyens au centre des préoccupations.
C’est dans l’ADN de notre parti et celui de la Suisse : Le fil rouge de l’histoire de la Confédération est la liberté. De 1291, date du
Pacte fédéral, à aujourd’hui.
Non aux juges étrangers
Cette liberté est toutefois menacée. Prenez par exemple la politique européenne du Conseil fédéral : Le nouveau mandat de négociation avec Bruxelles est une attaque frontale contre notre liberté et notre souveraineté. Nous devrions reprendre automatiquement le droit européen, nous devrions accepter des juges étrangers, nous devrions payer un tribut de plusieurs milliards de francs à Bruxelles.
Prenez aussi l’exemple de la politique climatique et énergétique du centre-gauche. Ce centre-gauche qui veut nous dicter quelle voiture nous devons conduire, comment nous devons nous chauffer, ce que nous pouvons ou ne pouvons pas manger. Il s’agit d’une mise sous tutelle totale, où la liberté est anéantie.
S’agissant de l’immigration – le principal problème dont découle beaucoup d’autres – la majorité de centre-gauche sabote même la volonté populaire. Nous ne pouvons plus contrôler l’immigration de manière autonome, ce bien que cela soit inscrit dans notre Constitution.
Vive l’UDC, vive la Suisse !
Comme vous pouvez le constater, partout les valeurs centrales et les acquis de la Suisse sont attaqués. La pression sur notre liberté et notre indépendance ne va pas diminuer. L’UDC est donc plus importante que jamais.
Ce fut un plaisir et un grand privilège pour moi de pouvoir présider notre parti. Avec Marcel Dettling, j’ai trouvé un successeur compétent, engagé et épris de liberté, qui s’engagera corps et âme pour notre pays. Quant à moi, je continuerai à me battre de toutes mes forces, pour l’UDC et notre Suisse.
Vive l’UDC, vive la Suisse !