Le centre-gauche gaspille des milliards de francs d’argent public dans le domaine de l’asile, de l’aide au développement et pour le statut S. Le oui clair à la 13e rente AVS est la quittance de ce gaspillage d’argent à l’étranger, ce qui n’est pas sans conséquences : La 13e rente AVS aggravera le déficit de l’AVS et du budget fédéral. La gauche doit maintenant prendre ses responsabilités et assumer les hausses des impôts et des déductions salariales encore plus importantes à venir.
L’UDC regrette le oui à l’initiative AVS. Les promesses peu sérieuses des syndicats mettent l’AVS et les finances fédérales en grande difficulté. La 13e rente AVS creusera le déficit de l’AVS de 5 milliards de francs supplémentaires par an ! La gauche est responsable de l’augmentation des impôts et des déductions salariales plus élevées à venir, nécessaires au financement de la 13e rente. Comme toujours, la classe moyenne passera à la caisse pour la politique de gauche.
L’UDC exige au contraire que l’initiative soit mise en œuvre sans augmentation de la TVA et des déductions salariales. La gauche veut renforcer le pouvoir d’achat et prend en même temps l’argent dans le porte-monnaie de la classe moyenne, des familles et de la population qui travaille ; l’UDC ne participera pas à ce racket. Les coûts supplémentaires engendrés par l’initiative AVS doivent être compensés par des économies dans d’autres secteurs.
Les caisses de la Confédération sont déjà vides : les dépenses d’asile explosent, la montagne de dettes atteint un niveau record de plus de 140 milliards de francs et en 2027, la Confédération prévoit déjà un déficit de plus de 3 milliards de francs. Parallèlement, le centre-gauche dilapide des milliards de francs à l’étranger : asile et statut S (4 milliards), aide au développement (environ 4 milliards par an), Ukraine (6 milliards prévus). Ce délabrement de la politique a eu pour conséquence que la 13e rente AVS a été largement approuvée.
Avant la votation, de nombreux électeurs ont justifié leur oui à ce projet coûteux et antisocial par le fait que dans la Berne fédérale, il y a de l’argent pour tout, sauf pour la Suisse et sa propre population. Cette évolution est dramatique, surtout si l’on considère que la caisse fédérale est vide. Il faut donc clairement stopper les agissements des gaspilleurs d’argent de gauche. Les coûts supplémentaires liés à l’initiative AVS doivent être économisés dans le budget fédéral : Le chaos de l’asile doit être stoppé, l’aide au développement doit être réduite et le statut S doit être supprimé.
Il faut également s’attaquer aux causes profondes de la perte de pouvoir d’achat causée par la politique de gauche ratée des autres partis :
Corriger la politique de redistribution de la gauche
Le non à l’initiative sur les rentes assombrit encore les sombres perspectives d’une prévoyance vieillesse stable. Les conséquences financières négatives de l’évolution démographique ne sont toujours pas endiguées. L’UDC s’engagera d’autant plus à l’avenir pour la garantie des rentes et une prévoyance vieillesse finançable à long terme. La politique de redistribution de la gauche mène à une impasse et doit être corrigée à la première occasion.