Harcèlement sexuel dans les transports publics (y compris sur des mineurs), tentatives de viols, voitures endommagées, insécurité dans les rues, vols à l’étalage… le quotidien des habitants de la petite ville de Boudry (NE) et ses environs est devenu infernal depuis plusieurs années. La raison ? Des migrants séjournant au centre fédéral de requérants d’asile à proximité, le plus grand du pays. En 2022 déjà, ce sont quelque 192 requérants d’asile de ce centre qui ont été impliqués dans des délits divers.
L’UDC neuchâteloise a tenté à plusieurs reprises de faire face via des interventions parlementaires cantonales, mais la totalité des propositions ont été balayées par l’ensemble des autres partis (y compris le PLR). Malgré quelques petites améliorations (grâce à la pression de l’UDC), la situation reste globalement très tendue. En outre, la sécurité coûte des sommes astronomiques à la collectivité. Plusieurs faits divers graves ont défrayé la chronique, par exemple :
Ce chaos de l’asile n’est plus acceptable et seule l’UDC se bat concrètement pour y faire face. En outre, l’expulsion effective des criminels étrangers et des requérants d’asile déboutés doit notamment être enfin conséquemment appliquée ; le canton de Neuchâtel compte parmi ceux qui expulsent le moins de criminels étrangers, ce qui lui a même valu des remontrances de la Confédération par le passé.
Parce que les autres partis au Parlement ne veulent pas mettre fin au chaos de l’asile, l’UDC Suisse a lancé l’initiative pour la protection des frontières. Le peuple suisse doit maintenant faire entendre sa voix : Pas d’asile pour les migrants illégaux ! Contrôle systématique de nos frontières nationales ! Pas de droit de séjour pour les demandeurs d’asile déboutés ! Afin d’atteindre l’objectif, l’initiative pour la protection des frontières prévoit notamment les mesures suivantes :
Signez dès maintenant l’initiative pour la protection des frontières !