L’UDC s’engage pour la sécurité qui est la condition essentielle de la liberté et de la prospérité de notre pays. Une politique laxiste, une justice excessivement complaisante et l’ouverture des frontières ont provoqué une augmentation de la criminalité. Le groupe parlementaire UDC a rencontré la police cantonale et la police municipale de Zurich pour se faire une idée précise de la situation.
Selon la statistique criminelle, 432’754 délits selon le Code pénal suisse ont été commis au total en 2018. Le nombre de migrants parmi les malfaiteurs est disproportionné compte tenu de leur part de 25% à la population totale de la Suisse. Deux exemples: environ 75% des adultes condamnés pour viol en 2017 étaient des migrants; leur proportion était de 62% dans les condamnations pour homicide intentionnel.
Criminalité des clans et violence contre les femmes
L’UDC est inquiète devant le développement de la criminalité notamment dans les villes. La criminalité en bande y progresse, tout comme les actes de violence contre les femmes. De nombreuses personnes, des personnes âgées, mais aussi des femmes, ne se sentent plus en sécurité et n’osent plus descendre dans la rue au crépuscule. Des jeunes, des femmes notamment, qui sortent le soir se font menacer, voire agresser. La progression du nombre de cas de violence et de menace contre les autorités est également inquiétante. Dans ces affaires également, les migrants sont très présents avec 748 condamnations, soit 46% des cas.
L’UDC prend très au sérieux cette menace. Pour s’informer de première main, son groupe parlementaire fédéral a rencontré aujourd’hui après sa séance à Zurich des dirigeants de la police cantonale et municipale zurichoise. L’objectif de ces entretiens était d’apprendre concrètement à quelles formes de criminalité la police est actuellement confrontée. Il s’agissait notamment de savoir s’il existe à Zurich des zones hors la loi et dans quelles mesures les affaires des shops barber, kebab, shisha, etc., qui poussent comme champignons après la pluie dans les villes, sont légales ou servent, comme en Allemagne, à blanchir l’argent des clans criminels.
La sécurité doit être rétablie
Le groupe UDC a interrogé les représentants de la police sur les expériences que font les agents avec des menaces et actes de violence dirigés contre eux ainsi que sur les mesures que l’autorité politique peut prendre pour faciliter le travail de la police, donc accroître la sécurité. Il était également intéressant d’apprendre quelles adaptations devraient être apportées du point de vue de la police au droit pénal et si les moyens et mesures de contrainte à disposition des agents sont suffisants.
Tout en demandant ces informations de première main sur le travail de la police, l’UDC entendait également témoigner de l’estime qu’elle porte à ces femmes et ces hommes qui s’engagent quotidiennement pour la sécurité des citoyens et s’exposent souvent à des dangers dans l’exercice de leur profession.
La garantie de la sécurité à l’intérieur et vers l’extérieur du pays est la tâche prioritaire de l’Etat. Or, ce dernier ne veille pas suffisamment à la protection des habitants contre le crime et les criminels. L’UDC se bat pour que la sécurité et l’ordre soient rétablis.