Défendre nos valeurs !
L’initiative populaire fédérale « Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage », lancée en mai 2016, a fait quelques remous depuis. Aidez-nous à récolter dans le sprint final les signatures encore manquantes. Près d’un tiers des 100’000 signatures requises doit encore être obtenu.
L’initiative exige une interdiction de se dissimuler le visage dans l’espace public. Les exceptions prévues sont clairement formulées. Elles ne comprennent que les raisons de santé, de sécurité, climatiques ou encore les coutumes locales. Les expériences faites dans le canton du Tessin, où une telle interdiction est en vigueur depuis 2016, sont tout-à-fait positives. Les touristes arabes respectent la loi et le tourisme a même le vent en poupe.
Un être libre ne cache pas son visage
Dans les États européens éclairés tels que la Suisse, montrer son visage fait partie des valeurs fondamentales inaliénables du vivre-ensemble. On regarde le visage de son interlocuteur, quand on se parle. Une personne libre ne se cache pas. Personne en Suisse ne peut être contraint à dissimuler son visage. J’ajoute encore: combattons le mal à la racine ! Nous ne voulons pas dans notre pays d’islamisation ou de sociétés parallèles comme à Marseille ou à Malmö. Là-bas, il n’est pas rare de croiser dans la rue des femmes portant la burqa, tout cela parce que les autorités ont tardé à prendre des mesures pour combattre l’islamisme.
La liberté pour tradition
L’initiative s’inscrit dans la tendance actuelle. Quelques pays européens et même des États musulmans appliquent déjà une interdiction de se couvrir le visage, alors que de nombreux autres en discutent. En effet, depuis que le terrorisme de l’État islamique fait des ravages, une chose est claire: les terroristes ne connaissent aucune limite. C’est pourquoi personne en Suisse ne devrait se voir imposer de rencontrer où que ce soit des individus en voile intégral, dont on ne peut même savoir s’il s’agit d’un homme ou d’une femme, s’il est inoffensif ou violent, armé ou non.
Les fauteurs de trouble aussi concernés
Les cercles d’extrême gauche, de plus en plus militants, menacent eux aussi activement l’ordre public, en terrorisant systématiquement, cachés sous des vêtements masquant leur identité, tous ceux qui ne partagent pas leurs idées et en vandalisant les biens d’autrui. La situation de Berne, bastion des anarchistes, où le climat politique dominant veut qu’on prenne encore les extrémistes de gauche avec des gants de velours, tandis que la police, qui veut faire son devoir, est abandonnée à son sort, montre précisément la nécessité d’une interdiction nationale de se couvrir le visage dans l’espace public. Si les majorités gauches-vertes ne soutiennent pas suffisamment la police, on a d’autant plus besoin d’une solution à l’échelle suisse pour agir avec fermeté contre les fascistes de gauche cagoulés qui vandalisent et mettent la ville sens dessus dessous.