L’UDC a présenté aujourd’hui à Berne son nouveau document de fond sur la politique médiatique. Ces réflexions confirment l’importance d’un paysage médiatique libéral pour la démocratie directe.
L’UDC a présenté aujourd’hui à Berne son nouveau document de fond sur la politique médiatique. Ces réflexions confirment l’importance d’un paysage médiatique libéral pour la démocratie directe. Le Conseil fédéral et une forte proportion du Parlement s’efforcent de réguler toujours plus la branche médiatique et à y distribuer des subventions. Or, des interventions de l’Etat dans le domaine médiatique ne peuvent plus être justifiées par des raisons techniques. Leur principal effet est de fausser la concurrence et d’entraver le travail des médias privés.
Grâce au rapide développement technique et notamment à la numérisation, les consommateurs disposent aujourd’hui d’une offre quasi infinie. Il n’est plus question d’une pénurie de fréquences comme il y a cinquante ans, mais le débat actuel est marqué par des thèmes comme la neutralité du réseau et l’intégralité du signal. L’indépendance des médias des influences de l’Etat et des fonds publics est élémentaire pour la démocratie. Partant de ces constats, l’UDC formule les exigences suivantes dans son nouveau document de fond sur la politique médiatique:
Les exigences de l’UDC seront déposées dans les semaines et mois à venir au Parlement sous la forme d’interventions. L’objectif principal est de rétablir sur le marché des conditions favorables à la concurrence. C’est une erreur politique de fond que d’entraver, voire d’empêcher l’accès au marché des entreprises privées par des interventions étatiques (offres, aides financières et régulations).