Exposé

Politiques des étrangers et de la formation menées par la gauche – bilan d’un échec complet

La Suisse a toujours été dans le passé un exemple vivant d’une cohabitation pacifique de communautés et de cultures différentes. Notre pays est ouvert. Cette ouverture a aussi pour conséquence que la

Toni Brunner
Toni Brunner
conseiller national Ebnat-Kappel (SG)

La Suisse a toujours été dans le passé un exemple vivant d’une cohabitation pacifique de communautés et de cultures différentes. Notre pays est ouvert. Cette ouverture a aussi pour conséquence que la part des étrangers à la population totale est aujourd’hui d’environ 22%. Chaque année 100 000 étrangers supplémentaires viennent en Suisse et chaque année 50 000 étrangers sont naturalisés. L’immigration incontrôlée qui a résulté de la politique voulue par le camp rouge-vert nous confronte aujourd’hui à d’énormes problèmes.

Vérifions ce constat à la lumière de six domaines.

  1. Forte mise à contribution des œuvres sociales par les étrangers
    Le nombre d’étrangers percevant des rentes AI, des indemnités de chômage ou de l’aide sociale est totalement disproportionné compte tenu de la part des étrangers à la population totale. On constate aussi de fortes différences en fonction des origines des étrangers. Les immigrants en provenance d’Ex-Yougoslavie touchent des rentes AI dans une proportion largement supérieure à la moyenne. On peut parler d’une balkanisation de l’AI.
  2. Malfaiteurs choyés et tourisme criminel
    L’UDC a été le seul parti à réclamer l’internement des délinquants sexuels et dangereux. La gauche et ses alliés préfèrent ménager les malfaiteurs et exposent ainsi la population à de graves dangers. Les autorités policières s’emploient plutôt à persécuter les automobilistes pour le moindre manquement qu’à agir contre les vrais fléaux: violence et vandalisme, cambriolages en série, criminalité parmi les requérants d’asile, trafic d’êtres humains, prostitution forcée, mais aussi contre une culture de la violence développée par certains groupes d’étrangers ainsi que contre la dégradation des mœurs chez les jeunes. Grâce à la politique de la gauche, qui minimise systématiquement ce problème, la Suisse est intéressante pour les touristes criminels. Si la gauche gagne les élections, les criminels continueront d’être choyés chez nous.
  3. Criminalité étrangère
    La criminalité étrangère est extrêmement élevée si on tient compte de la part des étrangers à la population de la Suisse. Les plus fortes parts d’étrangers sont recensées dans les condamnations pour des délits violents, le trafic de drogues et les cambriolages (64%). En analysant la criminalité étrangère en fonction des pays d’origine des malfaiteurs (par exemple sur la base des chiffres du canton d’Argovie) on relève une proportion excessivement élevée de ressortissants d’ex-Yougoslavie et de Turquie.
  4. Violence juvénile
    La violence juvénile progresse parallèlement à la criminalité étrangère. On est surtout frappé par l’accroissement de la brutalité. Des jeunes gens ont peur de se déplacer la nuit dans les rues; des femmes et des personnes âgées n’osent plus sortir le soir. Des gens se font agresser, tabasser ou même frapper à coups de couteau sans raison apparente. Des actes inconnus jusque là en Suisse comme les viols collectifs de Seebach, Rhäzüns, Steffisburg et Schmitten se multiplient.
  5. Explosion du nombre des naturalisations
    L’objectif déclaré de la gauche, mais malheureusement aussi de larges parties du centre politique, est de réduire artificiellement la proportion d’étrangers en forçant les naturalisations. Pour cette raison, la gauche combat les processus démocratiques dans la naturalisation et cherche à en faire un pur acte administratif. Le but est de donner tous les pouvoirs à l’administration et de mettre à l’écart les citoyens. L’UDC a fait aboutir une initiative populaire pour corriger cette situation.
  6. Baisse des performances à l’école
    Aucun autre pays au monde ne dépense autant d’argent par élève que la Suisse. Pourtant, la Suisse doit se contenter d’un classement moyen dans l’étude internationale PISA sur les performances des écolières et des écoliers. Les fonds disponibles pour l’instruction publique sont mal investis et n’apportent pas les effets souhaités. Cette situation s’explique par le fait que la totalité du système scolaire est infiltrée par la gauche qui impose ses principes: pédagogie antiautoritaire, suppression des notes à l’école primaire, abandon général du principe de la performance, connotation négative donnée à des notions comme la volonté à l’effort, la discipline et le talent. Neuf enseignants sur dix commençant dans la profession sont des femmes généralement de conviction socialiste. Des générations entières d’enfants sont formées à l’école par des femmes de gauche. L’élément masculin est en voie de disparition. Dans le canton de Zurich, un nombre croissant d’enseignants abandonnent la profession après deux ou trois ans déjà.
    Il est grand temps de stopper cette évolution. La concurrence doit être renforcée et il faut revenir au principe de la performance. L’effort doit être encouragé et apprécié par des notes. Les écoliers ont le droit de savoir où se situent leurs forces et leurs faiblesses. Il faut y voir aussi une préparation aux rigueurs du monde du travail.
    Les erreurs de la politique de migration menée en Suisse se répercutent aussi sur le niveau qualitatif de l’enseignement. L’étude Pisa confirme qu’une proportion excessive d’enfants étrangers dans les classes abaisse le niveau des performances scolaires de tous les enfants. Ce qui n’empêche pas les élus politiques rouges-verts de vouloir faire venir encore plus d’étrangers de cultures lointaines.
    Nos enfants sont les principales victimes de cette politique. L’UDC se bat contre cette politique: il n’est pas acceptable que nos enfants souffrent de l’influence négative qu’exercent des immigrants refusant de s’intégrer. Les enfants n’ayant pas des connaissances suffisantes de la langue nationale pratiquée sur place doivent recevoir un enseignement séparé jusqu’à ce qu’ils aient atteint le niveau linguistique nécessaire. Et les jeunes étrangers violents doivent être punis sévèrement. Les parents étrangers incapables de contrôler leurs enfants criminels doivent être privés de leur autorisation de séjour et renvoyés dans leur pays.

Il est urgent d’agir contre les conséquences néfastes de la politique rouge-verte de ces dernières années.

Si l’UDC remporte les élections dans 200 jours, elle mettra fin à la politique nocive du camp rouge-vert et ouvrira la voie à de nouvelles solutions.

  • L’UDC ne veut pas de situations comme dans les banlieues françaises ou anglaises.
  • L’UDC ne veut pas de sociétés parallèles.
  • Toute personne vivant en Suisse doit respecter nos règles.
  • La naturalisation est le dernier pas de l’intégration.
  • Les étrangers qui commettent des délits violents doivent être expulsés de Suisse.
  • Il faut mettre fin à l’immigration incontrôlée.

 

Toni Brunner
Toni Brunner
conseiller national Ebnat-Kappel (SG)
 
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