Maintenant Ça suffit: expulser les étrangers criminels!

La campagne électorale entre dans sa dernière ligne droite et me fait rencontrer une foule de gens – en participant à des stands dans les rues, à des foires, des expositions, des tables rondes…

Toni Brunner
Toni Brunner
conseiller national Ebnat-Kappel (SG)

La campagne électorale entre dans sa dernière ligne droite et me fait rencontrer une foule de gens – en participant à des stands dans les rues, à des foires, des expositions, des tables rondes, lors de fêtes, dans les gares et dans les trains. Partout on m’interpelle au sujet de l’UDC et de ses positions. Je m’en rends bien compte: nos thèmes sont proches du peuple. La migration et l’afflux de migrants en Suisse préoccupent de nombreuses personnes en Suisse. Les gens sont satisfaits – parfois en cachette seulement – d’entendre l’UDC dire tout haut ce qu’ils pensent tout bas. Ils sont contents de ce que l’UDC aborde la réalité telle qu’elle est. Souvent je remarque aussi que les gens sont en colère contre les autorités politiques, mais certains sont d’ores et déjà résignés.

Mes interlocuteurs me disent qu’ils ont dit OUI à l’initiative contre les minarets dans l’espoir que quelque chose soit fait contre la surpopulation étrangère. Qu’ils ont dit OUI à l’initiative sur le renvoi parce que leurs petits enfants ont été attaqués dans des gares, parce que leurs filles se plaignent de harcèlements grossiers lors des sorties du weekend. Qu’ils ont signé l’initiative contre l’immigration de masse, mais que la volonté politique de réagir manque de toute manière à la Berne fédérale. Qu’ils écoutent tous les jours les politiques, qu’ils suivent les émissions à la radio et à la télévision, qu’ils sont véritablement persécutés par les élections sur les chaînes de la SSR, que tout le monde parle, mais qu’il ne se passe rien.

La politique a un gros problème de crédibilité. Le peuple appelle de ses vœux une politique prévisible, honnête, ouverte. Les gens veulent des élus qui font ce qu’ils promettent, qui assument leurs responsabilités même quand c’est pénible. Ce n’est précisément pas le cas de la gauche et des autres bienpensants de la politique fédérale. Mais c’est l’affaire de l’UDC. Nous n’acceptons pas que des baillis et juges étrangers nous prescrivent ce que nous devons faire. Chez nous en Suisse, c’est nous qui décidons. Donc le peuple. Ce peuple a soutenu l’initiative sur le renvoi et rejeté le contreprojet. Cela n’empêche pas la gauche et ses alliés bienpensants – la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga en tête – de tout faire pour garder les étrangers criminels en Suisse afin qu’ils puissent continuer d’y sévir. L’UDC dit NON. C’est MAINTENANT qu’il faut agir.

Toni Brunner
Toni Brunner
conseiller national Ebnat-Kappel (SG)
 
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