Celles et ceux qui veulent que la Suisse reste la Suisse se rendent aux urnes pour les élections fédérales – et votent UDC.
Nous entrons dans la phase finale de cette campagne. Nos candidates et candidats feront cet après-midi leur promesse électorale. Nous présentons ainsi ouvertement nos engagements. On pourra nous mesurer à l’aune de cette promesse durant les quatre années à venir.
Nous voulons
L’UDC est prévisible. Nous n’avons pas besoin de faire des acrobaties; nous ne devons pas adapter constamment notre politique à l’air du temps comme c’est la mode dans les autres partis. Nous sommes fidèles à nos thèmes et positions durant des décennies. Et ces thèmes sont aussi ceux qui préoccupent la population.
Nonobstant les efforts des autres partis et des médias de minimiser le problème de l’asile, celui-ci existe réellement. Durant tout cet été on a multiplié les déclarations pour faire croire au peuple que le chaos de l’asile ne doit pas être un thème de discussion. Nous ne nous laissons pas leurrer. Nous n’acceptons pas qu’un requérant d’asile simulateur coûte plus par mois que la rente AVS que touchent des Suissesses et des Suisses à la retraite. Ces retraités, qui ont cotisé leur vie durant aux assurances sociales, reçoivent moins d’argent que des migrants économiques qui n’ont jamais versé un centime.
L’UDC s’engage pour la Suisse. Elle veut que la Suisse reste la Suisse. Les autres partis ont abandonné la Suisse. Ils mettent certes en scène, comme cette semaine, des divergences aussi ridicules qu’artificielles juste pour susciter un peu d’écho dans les médias. Mais en vérité, ils se sont parfaitement mis d’accord pour ne pas entrer en matière sur les propositions concrètes et détaillées de l’UDC concernant les problèmes de l’asile et de l’immigration. Les commissions parlementaires concernées refusent même la discussion.
Il est tout aussi évident que les autres partis refusent d’appliquer l’article constitutionnel sur la gestion et la limitation de l’immigration et qu’ils veulent imposer à la Suisse un accord-cadre institutionnel avec l’UE, donc le rattachement de la Suisse à l’UE. Tout cela sous le titre aussi prétentieux que fallacieux de "la poursuite et du renouvellement de la voie bilatérale".
Les élections passées, les masques tomberont et les cartes seront posées sur la table. La composition du nouveau parlement sera décisive quant à la suite des événements.
Ce parlement déterminera en décembre la composition du gouvernement fédéral. Ce parlement débattra durant la prochaine législature de l’application de l’initiative contre l’immigration de masse. Ce parlement décidera si la Suisse doit se soumettre à l’UE ou rester indépendante. Il décidera aussi de garantir ou non l’AVS pour les générations à venir. Ce Parlement décidera si la Suisse peut compter à l’avenir sur un approvisionnement énergétique sûr et avantageux. Il décidera si l’armée suisse reçoit les moyens nécessaires pour garantir la sécurité de la Suisse. Ce nouveau parlement approuvera de nouvelles règlementations et dépenses qui mettront l’emploi en péril – ou ne le fera pas. Ce parlement réformera l’imposition des entreprises pour que la Suisse reste un site économique attractif – ou fera l’inverse.
Voilà pourquoi les élections du 18 octobre sont d’une importance capitale.
L’UDC veut conserver notre pays magnifique et unique: la liberté individuelle, la prospérité, la sécurité, un espace vital intact. Tous ces acquis sont en danger aujourd’hui – à cause d’une immigration démesurée, de la violence et de la criminalité dans la vie quotidienne, du risque croissant d’attentats terroristes, mais aussi en raison de l’obsession de nombreux politiques de vouloir pousser la Suisse dans l’UE.
Celles et ceux qui veulent que la Suisse reste la Suisse se rendent aux urnes pour les élections fédérales – et votent UDC.