Les Suissesses et les Suisses ont fait une fois de plus aujourd’hui de l’UDC le parti le plus fort du pays…
Les Suissesses et les Suisses ont fait une fois de plus aujourd’hui de l’UDC le parti le plus fort du pays. Et cela bien que les autres partis, les médias et les autorités aient tenté par tous les moyens de combattre l’UDC durant les quatre ans écoulés. Ces milieux n’ont pas réussi à affaiblir le parti qui s’engage pour la Suisse. L’UDC fera durant la législature à venir tout ce qui est en son pouvoir pour imposer le contrat qu’elle a conclu avec le peuple. Le résultat du scrutin de ce jour clarifie aussi la situation concernant les élections générales au Conseil fédéral. Conformément aux règles de la concordance, l’UDC a un droit clairement établi à un deuxième siège au gouvernement national. La Suisse ne pourra relever les lourds défis, qui l’attendent durant la législature à venir, que si les trois principaux partis du pays occupent chacun deux sièges au Conseil fédéral.
Grâce au résultat électoral qu’elle a réalisé aujourd’hui, l’UDC se voit clairement confirmée dans son rôle de leader politique suisse. Elle tiendra toutes ses promesses électorales résumées dans le « contrat avec le peuple » que ses candidates et candidats au Conseil national et au Conseil des Etats ont signé le 27 août 2011 à Zurich. Voici concrètement ces positions:
• Nous ne voulons pas adhérer à l’Union européenne.
• Nous voulons stopper l’immigration de masse.
• Nous voulons expulser les étrangers criminels.
La situation en vue des élections générales au Conseil fédéral du 14 décembre 2011 est ainsi également clarifiée. L’UDC a toujours soutenu l’idée de la concordance selon laquelle les trois premiers partis par le nombre de leurs électeurs ont droit à deux sièges au gouvernement et le quatrième parti à un siège. L’UDC est de toute évidence le parti du Parlement fédéral qui compte le plus d’électeurs (projections nationales à 21.00 heures: 25.9% contre 18.1% pour le PS, 15.3% pour le PLR et 13.1% pour le PDC), si bien qu’elle a droit à deux sièges au gouvernement. Comme dans le passé, elle s’engagera pour la concordance également dans la perspective des élections au Conseil fédéral à venir. Il est indispensable que le premier parti de Suisse soit représenté par deux conseillers fédéraux pour relever les grands défis des années à venir comme la question de l’UE, la problématique de l’immigration, l’augmentation de la criminalité, la garantie des institutions sociales et la sauvegarde des emplois en Suisse. Le comité du groupe parlementaire définira lors de sa séance du 27 octobre 2011 la marche à suivre dans les élections gouverne-mentales.