Les eurofanatiques suisses continuent de proférer des mensonges grossiers pour tenter de semer la panique dans la population. Et les médias répandent sans aucune gêne le scénario d’horreur…
(UDC) Les eurofanatiques suisses continuent de proférer des mensonges grossiers pour tenter de semer la panique dans la population. Et les médias répandent sans aucune gêne le scénario d’horreur d’hôpitaux vides du fait que les employés devraient être licenciés en cas de non le 8 février. Une crainte absolument infondée comme a déjà dû le constater le médiateur de la télévision alémanique, Achille Casanova, à propos de l’émission « 10 vor 10 » qui avait également annoncé cette absurdité. Il serait temps de mettre fin à cette campagne mensongère.
Une fois de plus divers médias – notamment « 20 minutes » et la radio alémanique DRS – ont annoncé aujourd’hui qu’un non le 8 février mettrait non seulement en péril l’ensemble des accords bilatéraux, mais entraînerait de surcroît un manque de personnel dramatique dans certaines branches. Et de citer spécialement la santé publique où les employés étrangers sont particulièrement nombreux.
Il s’agit de purs mensonges qui visent à tromper et à manipuler le peuple. En réalité, un non ne changerait strictement rien pour les employés étrangers de la santé publique qui vivent et travaillent déjà en Suisse. Et si ce secteur a besoin de personnel supplémentaire à l’avenir, il pourra toujours engager les collaborateurs étrangers qualifiés dont il a besoin. Il est étonnant que les médias suisses continuent de répandre ce mensonge malgré la prise de position très claire du médiateur de la télévision alémanique, Achille Casanova, qui a qualifié de « fausse information grave » un compte rendu allant dans ce sens de l’émission « 10 vor 10 ».
L’UDC invite les journalistes à s’interroger sérieusement sur la véracité de ces scénarios d’horreur et à informer désormais objectivement et honnêtement sur la votation du 8 février 2009. La propagande d’Etat mensongère et la désinformation pratiquée systématiquement par les partisans de ce projet doivent enfin cesser.
Berne, 16 janvier 2009