Les résultats des élections d’octobre 2007 ont confirmé la justesse des choix de l’UDC en politique extérieure: les citoyennes et les citoyens veulent une Suisse indépendante et neutre, une Suisse…
(UDC) Les résultats des élections d’octobre 2007 ont confirmé la justesse des choix de l’UDC en politique extérieure: les citoyennes et les citoyens veulent une Suisse indépendante et neutre, une Suisse qui se manifeste avec assurance et intelligence sur la scène internationale. Or, le Conseil fédéral fait exactement l’inverse aujourd’hui. L’UDC invite avec insistance le gouvernement à faire pression sur l’UE dans le litige fiscal: si l’UE ne s’engage pas formellement à cesser d’attaquer la souveraineté helvétique, la Suisse ne peut approuver l’extension de la libre circulation des personnes.
Le Conseil fédéral, mais aussi les partis gouvernementaux, le PS, le PRD et le PDC, ont, comme de coutume, choisi la voie de la moindre résistance. Ils envisagent de conclure tous les accords bilatéraux souhaités par l’UE et même d’y ajouter un accord-cadre.
En revanche, les attaques menées par l’UE contre notre système fiscal ne suscitent aucun commentaire. Le gouvernement ne s’inquiète guère de voir la Suisse se précipiter dans un désastre énorme. Les critiques lancées par l’UE contre la législation fiscale suisse constituent une attaque directe contre notre souveraineté. L’attitude de l’UE est injustifiable: aucun pays n’a le droit d’exiger d’un autre qu’il modifie ses lois simplement parce qu’il se croit désavantagé dans la concurrence. L’UDC rejette cette diplomatie de la canonnière. Une fois de plus, l’UDC est le seul parti à défendre la souveraineté et l’indépendance de la Suisse sans faire de compromis.
L’UDC a présenté aujourd’hui ses exigences qui se résument ainsi:
Berne, 1er février 2008