En février 2004, le peuple suisse a accepté massivement l’initiative en faveur de l’internement à vie des délinquants violents extrêmement dangereux. Ce fut une décision populaire claire et nette…
(UDC) En février 2004, le peuple suisse a accepté massivement l’initiative en faveur de l’internement à vie des délinquants violents extrêmement dangereux. Ce fut une décision populaire claire et nette. Mais la gauche du Parlement s’en moque complètement. La concrétisation de l’initiative pour l’internement est sans cesse reportée et repoussée d’une commission parlementaire à l’autre. Tout est fait pour saboter ce projet. A la tête de ce complot contre le peuple, il y a les socialistes et les Verts. L’UDC invite une fois de plus tous les parlementaires à s’engager en faveur de cette initiative voulue par le peuple.
En approuvant l’internement à vie des délinquants violents et extrêmement dangereux, le peuple savait parfaitement ce qu’il voulait. Il partait du principe que la justice pourrait punir de l’internement à vie des assassins d’enfants et autres violeurs. C’est exactement ce que le peuple a exprimé en approuvant l’initiative pour l’internement. Le Conseil fédéral et le Parlement ont maintenant le devoir de concrétiser cette volonté populaire.
C’est précisément ce qu’a fait le conseiller fédéral Christoph Blocher. Il a préparé un projet d’application de l’initiative sur l’internement conformément à la volonté populaire. Mais aujourd’hui, les commissions du Parlement retardent ou bloquent ce travail législatif. Ce sont pour l’essentiel des parlementaires de gauche qui torpillent la décision populaire. Avec leur devise « Quelle que soit la décision du peuple, nous autres gens de gauche nous faisons ce que nous voulons », les socialistes et les Verts détruisent la démocratie.
L’UDC ne tolérera pas cette arrogance monstrueuse face aux décisions du souverain. Les choix du peuple doivent être respectés. Le refus du camp rouge/vert de légiférer détruit notre démocratie; c’est un exemple de plus du peu de sérieux avec lequel la gauche agit au Parlement. Les électrices et les électeurs feront bien de s’en souvenir cet automne et de punir les destructeurs de notre démocratie.
Berne, 7 mars 2007