Les violeurs de Steffisburg, Rhäzüns et Zurich, mais aussi les vandales de l’église de Muttenz sont tous, sans exception aucune, des jeunes étrangers ou des jeunes Suisses récemment naturalisés…
(UDC) Les violeurs de Steffisburg, Rhäzüns et Zurich, mais aussi les vandales de l’église de Muttenz sont tous, sans exception aucune, des jeunes étrangers ou des jeunes Suisses récemment naturalisés. Cela fait des années que l’UDC attire l’attention sur les problèmes croissants que pose la criminalité parmi les étrangers. Le conseiller fédéral Christoph Blocher a abordé ces problèmes lors de son discours de l’Albisgüetli, ce qui lui a valu les attaques, qui durent encore aujourd’hui, des milieux rouges-verts. Pendant ce temps, les écoliers suisses souffrent physiquement et psychiquement d’une politique des étrangers erronée.
L’immigration massive en provenance de cultures étrangères pose des problèmes croissants à notre pays, à ses institutions et à ses écoles. Des bagarres au couteau, des tabassages, des accidents provoqués par des chauffards et la dégradation générale des mœurs font aujourd’hui partie du quotidien. La sécurité publique et le climat dans les écoles ainsi que tous les jeunes Suisses et leurs parents pâtissent de cette évolution.
Les milieux de gauche et les Verts tentent de minimiser les problèmes. Dans le cas des violeurs de Zurich, il s’agit de six étrangers et de sept Suisses, a-t-on dit. Pour des raisons politiques, on a longtemps dissimulé que ces « Suisses » étaient en réalité des étrangers fraîchement naturalisés. Une tentative de cacher que des fautes énormes sont commises au moment des naturalisations. Les candidats ne sont même plus examinés. La situation à Zurich où le taux de naturalisation a explosé est significative pour toute la Suisse.
Les exigences de l’UDC:
Voir document de l’UDC de mars 2006: „Nos règles sont valables pour tous »
Il faut davantage d’UDC dans les parlements et dans les exécutifs pour mettre fin à la politique complaisante du centre gauche. Cette politique, dont l’échec est depuis longtemps patent, détourne la jeunesse suisse et ses auteurs sont finalement responsables du fait que des étrangers sans scrupules violent des filles et tabassent des jeunes gens suisses.
Berne, 20 novembre 2006