La conférence d’aujourd’hui de l’Union syndicale suisse confirme que les fonctionnaires syndicalistes bradent les intérêts des travailleurs suisses pour les subordonner à leur objectif à long terme, à savoir l’adhésion à l’UE. Les syndicats et leurs fonctionnaires sont les profiteurs directs de l’immigration démesurée qui leur apporte des membres, de l’argent et de l’influence politique. Du coup, les chefs des syndicats sont dans le même bateau que les grands managers. La facture de leurs ambitions sera payée par les travailleurs de Suisse qui continueront d’être livrés à la concurrence de 500 millions d’Européens. D’ailleurs, les syndicats confirment eux-mêmes régulièrement les méfaits de cette politique démesurée: pression sur les salaires, perte d’emplois pour les salariés résidant déjà en Suisse, charges pour les institutions sociales. Seul un contrôle de l’immigration et une priorité effective donnée à la main-d’œuvre résidente protègent efficacement les travailleurs de ce pays.
La conférence d’aujourd’hui de l’Union syndicale suisse confirme que les fonctionnaires syndicalistes bradent les intérêts des travailleurs suisses pour les subordonner à leur objectif à long terme, à savoir l’adhésion à l’UE. Les syndicats et leurs fonctionnaires sont les profiteurs directs de l’immigration démesurée qui leur apporte des membres, de l’argent et de l’influence politique. Du coup, les chefs des syndicats sont dans le même bateau que les grands managers. La facture de leurs ambitions sera payée par les travailleurs de Suisse qui continueront d’être livrés à la concurrence de 500 millions d’Européens. D’ailleurs, les syndicats confirment eux-mêmes régulièrement les méfaits de cette politique démesurée: pression sur les salaires, perte d’emplois pour les salariés résidant déjà en Suisse, charges pour les institutions sociales. Seul un contrôle de l’immigration et une priorité effective donnée à la main-d’œuvre résidente protègent efficacement les travailleurs de ce pays.
Les syndicats tentent de cacher la faiblesse de leurs arguments par des faux-fuyants cousus de fil blanc. Ce sont précisément les syndicats qui, par leur soutien aveugle à la libre circulation des personnes, sont responsables de l’abandon de la priorité des travailleurs résidents pour la majeure partie des admissions sur le marché du travail suisse. La priorité nationale est tout juste maintenu pour 3500 permis B de ressortissants d’Etats hors UE. Une goutte d’eau dans la mer alors qu’on a affaire à une immigration de plus de 150 000 personnes par an. Les responsables syndicaux sont manifestement incapables de reconnaître leur échec à ce niveau.
L’initiative contre l’immigration de masse corrige ce dysfonctionnement. Non seulement elle apporte le contrôle de l’immigration et, partant, la meilleure protection possible des travailleurs présents, mais en plus elle inscrit dans la Constitution fédérale le principe de la priorité des travailleurs résidents. La notion "suisse" dans le texte constitutionnel a été choisie à dessein pour offrir une possibilité de limitation formelle et pour empêcher, par exemple, que via une reprise de la citoyenneté UE la priorité des résidents soit tout à coup étendue à toute l’Europe avec ses millions de chômeurs. Dans la pratique, ce principe sera appliqué conformément à la priorité accordée actuellement aux travailleurs résidents par rapport aux immigrants d’Etats hors UE. Cette disposition n’a aucun effet sur les étrangers déjà présents, car elle ne concerne que les nouvelles autorisations. Il est totalement faux de prétendre, comme le font les fonctionnaires syndicaux, que les enfants d’immigrés ou des étrangers résidant en Suisse depuis longtemps seraient défavorisés par cette initiative.
Pour réduire la pression sur les salaires et empêcher l’éviction des travailleurs résidents par des immigrants acceptant des bas salaires, il faut voter OUI le 9 février 2014 à l’initiative "contre l’immigration de masse.