Contrairement à ce que certains affirment, le contre-projet à l’initiative sur le renvoi n’est pas un compromis ! Il empêche l’expulsion de criminels étrangers, promeut la bureaucratie et surcharge…
Contrairement à ce que certains affirment, le contre-projet à l’initiative sur le renvoi n’est pas un compromis ! Il empêche l’expulsion de criminels étrangers, promeut la bureaucratie et surcharge l’administration par des procédures et des recours onéreux.
Avec le contre-projet, les renvois ne seront pratiquement jamais exécutés ou du moins bloqués durant des années suite à des recours. Le contre-projet ne contient pas non plus de minimum pour l’interdiction d’entrée des étrangers renvoyés, ce qui veut dire qu’ils pourraient tout-à-fait revenir en Suisse après une année à peine. Il contient par ailleurs un article relatif à « l’intégration », qui serait totalement déplacé et n’a rien à faire avec l’initiative sur le renvoi. Vous répondrez peut-être qu’il est important de mieux intégrer les étrangers. C’est ignorer la réalité et tout simplement faux, car la majorité des étrangers en Suisse sont déjà intégrés. Ils apportent leur contribution à notre société et à notre économie. Le fait est, cependant, qu’une petite partie d’entre eux ne peut et ne veut pas s’intégrer. L’intégration est un processus qui ne fonctionne que si la personne concernée le souhaite. Si cette volonté d’intégration fait défaut, même les cours les plus chers, les meilleurs travailleurs sociaux et les offres d’intégration les plus pointues n’ont absolument aucun sens.
Fraude sociale
C’est justement de ces étrangers sans volonté d’intégration, criminels, qu’il est ici question. Les étrangers qui voient la Suisse comme une contrée merveilleuse dans laquelle ils peuvent se défouler à leur guise, commettre des infractions et abuser de nos institutions sociales doivent être expulsés.
La fraude sociale sabote notre État social. Savez-vous que les 22 % d’étrangers installés dans notre pays perçoivent aujourd’hui 40 % des prestations sociales ? Dans notre travail au sein de la police, nous constatons régulièrement que des familles étrangères bénéficient de prestations AI et d’aide sociale injustifiées et beaucoup trop élevées. De nombreux étrangers font savoir à leurs compatriotes à quel point la vie est agréable en Suisse et qu’on peut y recevoir beaucoup d’argent sans travailler. Seule l’initiative pour le renvoi permet de stopper cette évolution.
Criminalité parmi les étrangers
Grâce à l’initiative UDC pour le renvoi, les criminels étrangers pourront être contraints de quitter notre pays, ce qui n’est pas le cas avec le contre-projet. La part des condamnations prononcées contre des étrangers a crû de 65 % ces 25 dernières années. Nous autres policiers vivons tous les jours de près l’augmentation de la criminalité étrangère. Nous avons beaucoup plus souvent affaire à des étrangers qu’à des Suisses. On remarque rapidement que beaucoup de criminels étrangers sont des récidivistes. Quand nous devons intervenir pour la xième fois à cause du même étranger, nous aimerions pouvoir enfin renvoyer ces gens, ce qui n’est aujourd’hui possible que dans de rares cas et qui serait tout sauf amélioré par le contre-projet.
Nous remarquons chez les étrangers une tendance à commettre plusieurs fois les mêmes infractions lourdes. La violence domestique n’est pas exclusivement mais très souvent un problème d’étrangers. C’est dû à des aspects spécifiques tels que la mentalité, l’éducation, la fierté et l’honneur. D’autres domaines problématiques sont les bandes organisées, qui viennent chez nous commettre des cambriolages en série. Nous savons que presque toutes ces bandes sont d’origine étrangère.
Le contre-projet ne représente en aucun cas un « juste milieu ». Le contre-projet est une illusion perfide visant à empêcher presque tous les renvois, ce qui ne saurait être notre but. Rangeons-nous donc du côté de nos étrangers bien intégrés et opposons-nous clairement aux criminels.
Le 28 novembre, votez OUI à l’initiative sur le renvoi et NON au contre-projet !