La population de la Suisse continue de croître rapidement malgré la crise Covid-19, l’augmentation du taux de mortalité et la baisse de la natalité. La cause: l’immigration sans borne d’étrangers UE et de migrants économiques. Durant cette crise, des individus refusant de s’intégrer et d’autres fainéants continuent de s’installer confortablement en Suisse et profitent de notre luxueux système social pendant que de nombreux nationaux craignent pour leur emploi. Il est donc plus urgent que jamais que la Suisse reprenne le contrôle de l’immigration sur son territoire.
L’information de l’Office fédéral de la statistique a de quoi inquiéter: la population résidante permanente de la Suisse s’est accrue fin 2020 de 0,7% par rapport à la même période de l’année précédente pour atteindre 8,7 millions de personnes. Elle a donc augmenté de 61’000 personnes en l’espace d’un an, soit l’équivalent de la population de la ville de Lucerne, et cela malgré la crise Covid-19, l’augmentation du nombre de décès (plus 12,1%, soit 76’000 au total) et la baisse de la natalité!
137’400 immigrants ont afflué en Suisse en 2020, année du Covid-19!
La raison principale est la poursuite de l’immigration de masse provoquée par la libre circulation des personnes. Nonobstant les restrictions imposées aux voyageurs, la crise économique et le confinement, 137’400 étrangers ont immigré en Suisse l’an passé. Cette arrivée massive de ressortissants étrangers se poursuit alors qu’il y a moins d’emplois, que le secteur gastronomique est bouclé et que le commerce de détail a dû fermer ses portes pendant des mois.
Situation de plus en plus tendue sur le marché du travail
La situation sur le marché du travail est de plus en plus tendue. Actuellement quelque 300’000 personnes sont au chômage partiel. Le nombre de chômeurs augmente et de nombreux salariés ont perdu leur emploi. Les jeunes ont du mal à trouver une place d’apprentissage. Tout cela n’empêche nullement les immigrants d’entrer en masse: la Suisse reste attractive malgré la crise, notamment grâce à son généreux système social.
La crise due à la pandémie confirme une fois de plus que les immigrants restent dans le pays même en des périodes économiquement difficiles et s’installent confortablement dans le filet social. La raison est simple: un étranger UE fainéant touche plus d’argent de l’assurance-chômage ou de l’aide sociale qu’il ne peut en gagner en travaillant dans son pays d’origine. Il n’a donc aucune raison de quitter la Suisse même en période de crise. La baisse de l’émigration d’étrangers de 14,9% en 2020 confirme ce constat.
Les étrangers prennent aux Suisses les lits des hôpitaux
Comme si cela ne suffisait pas, les étrangers prennent aux Suisses les lits des hôpitaux. Les médias suisses annoncent en effet qu’un nombre disproportionné de migrants occupent les services de soins intensifs. « 70% de migrants dans les lits d’hôpitaux », titrait récemment le quotidien zurichois « Tages-Anzeiger ».
Oui à une gestion autonome de l’immigration, non à la politique molle des autres partis
Cette immigration massive en pleine crise illustre les deux lourds handicaps dont souffre la Suisse: la libre circulation des personnes et un système d’asile inapte. Il est plus urgent que jamais que notre pays reprenne le contrôle de l’immigration et réforme son droit d’asile (nouvelle définition du statut de réfugié, création d' »espaces de transit » à la frontière), faute de quoi la situation continuera de se détériorer – au détriment des Suisses et des étrangers déjà établis.
L’UDC continuera de combattre avec détermination la politique molle des autres partis et de s’engager pour une gestion souveraine de l’immigration – pour le bien de notre pays et de ses habitants.