Assemblée des délégués de samedi, 4 juillet 2015
10.30 heures, à la "Dossenhalle", Kerns (OW)
Garder la juste mesure! Gérer l’immigration.
Les raisons qui font que l’UDC doit gagner les élections
par Toni Brunner, conseiller national, président UDC Suisse, Ebnat-Kappel
Garantir l’emploi: la gestion de l’immigration rend superflues les mesures d’accompagnement
par Franz Grüter, président UDC Lucerne, Eich (LU)
Le désastre de l’asile et de l’aide sociale à l’exemple de la commune d’Aarburg
par Martina Bircher, conseillère communale, Aarburg (AG)
Le désastre a un nom: Sommaruga – Immigration clandestine par la Méditerranée: un point de la situation dans la perspective suisse
par Roger Köppel, candidat UDC au Conseil national, rédacteur en chef et éditeur de l’hebdomadaire "Weltwoche", Küssnacht (ZH)
> Proposition de lettre à la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga (PDF)
Dans 100 jours environ, les Suissesses et les Suisses décideront de l’orientation politique de leur pays pour les quatre années à venir. La Suisse doit relever de lourds défis pour sauvegarder sa liberté et son indépendance.
Le Conseil fédéral et les autres partis veulent sacrifier l’indépendance de la Suisse en concluant un accord institutionnel – en réalité un traité de soumission – avec l’UE. Ce sont les mêmes milieux qui refusent d’appliquer l’article constitutionnel contre l’immigration de masse et demandent une nouvelle votation.
La majorité de centre gauche du Conseil fédéral et du Parlement foule au pied les décisions du peuple. On fait certes de belles déclarations à chaque apparition publique pour plaire au peuple, mais en réalité on fait juste l’inverse. Au lieu de limiter l’immigration par des contingents et la pré- férence nationale, la Berne fédérale mise sur des mesures d’intégration étatiques, ce qui signifie en clair dépenser encore plus d’argent des contribuables. On ne songe absolument pas à une limitation efficace de l’immigration. On refuse aussi bien de restreindre le regroupement familial que de réduire l’accès aux institutions sociales, deux mesures qui auraient pourtant un effet sensible sur l’immigration.
On préfère parler d’« initiatives pour la main-d’œuvre qualifiée », d’un régime plus strict à l’égard des Etats tiers ou d’autres actions qu’on aurait pu entreprendre depuis longtemps. Le Conseil fédéral ne peut faire état d’aucune mesure concrète et encore moins d’un résultat depuis le 9 février 2014. On essaie de gagner du temps mais l’immigration s’accélère.
Quelles sont les conséquences de cette démesure et de cette inaction de la Berne fédérale?
Il faut enfin réduire le nombre d’autorisations de séjour. Nous allons donc écrire une lettre à la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga en lui rappelant les exigences de l’UDC concernant la limitation de l’immigration. Vous, Chers Délégués, vous pourrez signer cette lettre à l’occasion de notre assemblée et y ajouter des points supplémentaires.