Journal du parti Franc-parler décembre 2015

Imposer la volonté du peuple

Cela fait déjà cinq ans que le peuple suisse a accepté l’initiative pour le renvoi des criminels étrangers. A ce jour, rien n’est mis en œuvre afin de faire appliquer cette décision claire du souverain. Pire, le Conseil fédéral propose une application très souple qui reprend les bases du contre-projet que le peuple avait pourtant clairement refusé.

 

 
Confronté au refus des autorités politiques  fédérales de centre gauche d’appliquer les décisions démocratiques, il appartient désormais au peuple de reprendre les choses en mains afin d’améliorer la sécurité de toutes les personnes résidant légalement dans notre pays.

Aujourd’hui, la criminalité étrangère a pris une proportion effrayante, certaines personnes ne sont plus impressionnées par de petites peines de prison au regard de ce que peut rapporter un larcin.  Il en résulte une proportion de criminels étrangers supérieure à 70% dans les prisons suisses. Ce chiffre dépasse même les 80% dans les lieux de détention du Canton de Vaud.

Carton rouge
A l’avenir les crimes particulièrement graves commis par des étrangers doivent obligatoirement conduire à une expulsion du territoire suisse.  C’est à dire par exemple qu’en cas de meurtre, de brigandage, de viol, il n’y aura plus de discussion sur les conséquences pour l’auteur du délit. Il devra quitter la Suisse au terme de sa peine, ou si cette possibilité est offerte, purger sa peine dans son pays d’origine.

Carton jaune
Pour un certain nombre de délits, l’expulsion est rendue possible uniquement en cas de récidive. Il s’agit pour les auteurs de délits mineurs d’un avertissement. Dans les faits, la récidive entraînera, comme cela se pratique au foot, à un carton rouge, donc à une expulsion de notre territoire.

Cette pratique largement souhaitée par le souverain correspond à un certain bon sens. Les personnes qui sont accueillies dans notre pays doivent chercher à s’intégrer et non à commettre des délits et des incivilités à répétition. Malheureusement, un grand nombre d’immigrés proviennent depuis quelques années de pays, ou de cultures différentes de la nôtre, avec une conception du droit incompatible avec notre système démocratique et juridique. Aujourd’hui, la Suisse ne doit plus garder sur son territoire des personnes qui ne veulent pas s’adapter à notre ordre ou qui sont uniquement là dans un but de pratiquer des activités criminelles financièrement intéressantes.

Cette initiative ouvre une nouvelle perspective, celle de permettre de sanctionner les abus dans nos assurances sociales et par là, contribuer à les consolider. Que ce soit dans le cadre de l’AI ou encore l’aide sociale, la proportion d’étrangers est également supérieure à la proportion des citoyens suisses. Il ne s’agit pas de punir une communauté, mais bien de punir les moutons noirs qui abusent sans frémir de nos œuvres sociales.

L’initiative pour le renvoi des criminels étrangers, tout comme l’initiative de mise en œuvre se veut dissuasive pour répondre à un problème reconnu. C’est un signal clair, les criminels étrangers doivent savoir que dorénavant ils ne pourront plus compter sur le laxisme du système judiciaire suisse pour éviter une expulsion.

En acceptant cette initiative d’appli-cation, le Peuple suisse a l’occasion d’apporter la confirmation de son vote de 2010 et la nécessité absolue pour notre sécurité d’expulser celles et ceux qui viennent dans notre pays dans le but de pratiquer des activités illégales. La Suisse ne doit pas devenir l’eldorado des criminels étrangers.

 

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