Mettre fin à l’inaction en droit des étrangers – renforcer la sécurité
Il est temps de se mettre au travail. La politique migratoire suisse est dangereuse et irresponsable. Notre torpeur met en péril la sécurité financière et sociale de notre pays. La confiance des citoyens et citoyennes en l’État, dans les politiciens et politiciennes, ne cesse de diminuer. Comment est-ce possible que des gens comme Abou Ramadan (Imam à Nidau) vivent en Suisse durant des années, ne travaillent pas, ne s’intègrent ni culturellement ni socialement, vivent à notre charge, nous qui payons des impôts, tout en dénonçant la prétendue décadence de l’Occident et en ayant notre destruction pour objectif déclaré?
Nous devons agir ! Tous. Cette violation choquante de la loi et l’inaction coupable des autorités et de nous politiciens doit prendre fin.
C’est pourquoi je vous demande, à vous tous dans les communes, villes et cantons, d’entreprendre ce qui suit avec vos représentants au sein des commissions et des conseils communaux :
1) Faites examiner dans vos communes/villes qui vit dans l’entourage de groupes islamiques radicaux, d’associations gérant des mosquées et d’imams locaux qui ne s’intègrent pas et vit de l’aide sociale ?
2) Demandez à connaître le statut de séjour de ces personnes, la façon dont elles l’ont obtenu (par la voie demande d’asile – admission provisoire – établissement) ? Demandez pourquoi ces personnes qui vivent durant des années aux frais de l’État et n’essaient même pas de s’intégrer économiquement et culturellement ne se voient pas retirer l’autorisation de séjour ou d’établissement ou refuser son renouvellement ?
3) Demandez aux autorités quand, pour la dernière fois, une demande a été adressée au canton pour révoquer l’autorisation de séjour d’une personne vivant dans votre commune/ville? Quels étaient les motifs ? Comment se présente l’évolution du nombre de révocations requises par les communes ces 10 dernières années et combien ont été admises par le canton ?
4) Demandez le réexamen des dossiers de toutes les personnes dont le retrait du titre de séjour a été demandé par les communes/villes aux autorités cantonales durant les 10 dernières années, puis refusé par celles-ci.
Les exigences de l’UDC :1) Tous ceux qui sont partis faire le djihad et qui reviennent en Suisse où sont déjà revenus doivent être immédiatement détenus pour motifs de sûreté; 2) Tous les requérants d’asile se trouvant « sur le radar » du Service de renseignement doivent faire l’objet d’une décision négative et immédiatement reconduits aux frontières pour motifs de sûreté. Si ce n’est pas possible, ils doivent être internés jusqu’à nouvel ordre; 3) Il faut montrer clairement à tous les étrangers et surtout à tous les musulmans en Suisse quelles règles et valeurs s’appliquent dans notre société et dans notre pays. Que la loi du Coran, la charia, n’a absolument aucune place dans notre système juridique. Toutes les communautés musulmanes de notre pays sont appelées à signaler aux autorités les extrémistes, les discours haineux et les hommes et femmes radicalisés, afin que ceux-ci puissent être contrôlés et expulsés avec rigueur; 4) Tous les étrangers et étrangères, mais aussi tous les ressortissants suisses qui sont « sur le radar » du Service de renseignement doivent faire l’objet d’une observation active. À cette fin, il faut adapter la loi sur la protection des données et, dans les cantons, renforcer les forces de police, les former spécifiquement et les faire intervenir activement; 5) Les mosquées et les activités des imams, ou soi-disant imams, doivent faire l’objet d’une observation particulière. Le contenu des sermons des imams doit être surveillé point par point, et les autorités doivent intervenir directement en cas d’infraction. En particulier, « l’aumônerie » des imams dans les prisons doit être strictement contrôlée; 6) Les contrôles systématiques de personnes dans les villes doivent être intensifiés, de sorte à pouvoir enfin connaître le nombre de résidents illégaux en Suisse (voir les résultats du contrôle renforcé des personnes en Allemagne avant le sommet du G-20 à Hambourg) puis agir sur la base de faits clairs. Les UDC cantonales sont invitées à soumettre des propositions appropriées dans leurs cantons; 8) Les vols de toute sorte, les cambriolages, les menaces, etc. doivent être systématiquement dénoncés et poursuivis afin que l’ampleur réelle de la criminalité puisse être appréhendée et remise sous contrôle. La police doit être soutenue dans son travail. Elle doit cependant se montrer stricte dans l’exécution de ses tâches et encourager les victimes à porter plainte; 9) Les délinquants juvéniles doivent être condamnés dans un délai de six mois au plus tard afin de se rendre compte que leur action a des conséquences immédiates; 10) Il faut instaurer immédiatement des contrôles efficaces aux frontières et, sur les points chauds, comme à la frontière sud du Tessin, renforcer le corps des garde-frontières qui doivent être soutenus par des forces militaires spécialisées pour renvoyer les immigrants clandestins. |