Pourquoi voter UDC ?
Soyons sérieux : voter pour les Verts en octobre ne sauvera pas le monde. Voter UDC, par contre, permettra au moins de sauver la Suisse. Vous trouvez que j’exagère ? C’est que vous n’avez pas encore pris conscience des vrais enjeux des votations fédérales de cette année. L’hystérie climatique vous a peut-être embué l’esprit et les volte-face du centre vous ont désorientés. Heureusement que l’UDC garde la tête froide face aux coupeurs de têtes politiquement corrects et refuse de marcher sur la tête lorsque le monde est sens dessus-dessous.
Cohérence
L’UDC est un parti dont les paroles correspondent aux actes, un parti qui a une ligne et une communication claires et qui s’y tient. Que ça nous plaise ou non, les partis sont avant tout des instruments. Certains d’entre eux servent des intérêts particuliers et pratiquent le clientélisme comme le font les professionnelles du trottoir. L’UDC pas! Refusant de racoler des « clients » au détriment de sa virginité, elle défend la souveraineté, l’indépendance, la neutralité et le fédéralisme avec une constance et une vigueur qui forcent le respect. L’UDC est au service du bien commun, qui est la préservation de notre patrie, la Suisse.
Liberté en péril
L’enfumage climatique actuel des milieux économico-écolo-mondialistes ne sert qu’à masquer les intentions réelles d’une petite clique d’oligarques cherchant à prendre le contrôle global des flux financiers et des libertés citoyennes. Ne pouvant parvenir à leur fin – l’abolition des États-nations – à l’aide de moyens honnêtes, ils utilisent la fourberie et le mensonge pour imposer leur modèle liberticide.
Non à la soumission
Renforcer l’UDC cet automne, c’est renforcer la souveraineté et la démocratie directe, sans lesquels le modèle Suisse serait vidé de sa substance. Cet accord, duquel nos adversaires essayent de détourner les regards avant les élections – pour le resservir juste après – ne représente pas du tout une continuation des accords bilatéraux, mais leur abolition pure et simple. En effet, il ne s’agit plus d’un accord conclu entre partenaires égaux et indépendants, mais d’un acte de soumission de notre nation souveraine au droit européen qui, de plus, est évolutif. C’est-à-dire qu’en concluant cet accord, la Suisse se soumettrait non seulement à la cour de justice européenne, mais qu’en plus, elle signerait un chèque en blanc. Or, mis à part l’UDC, tous les autres partis ont déjà fait savoir qu’ils soutiendraient l’accord cadre. N’osant pas demander frontalement aux Suisses s’ils veulent adhérer à l’UE, ils cherchent à les y amener par étapes et détours en créant une succession de faits accomplis juridiques.
Une question de valeurs
La Suisse est une communauté d’esprit ancrée dans une identité, une histoire et des traditions propres. Un long processus de mûrissement l’a amenée à développer une forme particulièrement harmonieuse et équilibrée du vivre ensemble, basée sur la responsabilité individuelle, l’esprit de milice, le fédéralisme et la subsidiarité. Or, c’est précisément tout cela qui est en péril si nous devions nous dissoudre dans l’UE qui est, elle, anti-démocratique, bureaucratique et centralisée à outrance. Voter UDC en octobre représente réellement un acte citoyen indispensable pour sauver la Suisse.