Si nous ne défendons pas la Suisse, personne ne le fera!
Ni le Conseil fédéral, ni la classe politique, ni même les milieux patronaux et syndicaux ne sont le plus grand danger contre l’initiative pour une immigration modérée. Le plus grand danger, c’est notre propre passivité ! Si nous ne luttons pas pour défendre notre pays, nos libertés et notre avenir, personne d’autre ne le fera à notre place.
Le 9 février 2014, la majorité du peuple et des cantons a approuvé une modération de l’immigration en acceptant l’initiative UDC contre l’immigration de masse.
Fidèle à son tempérament prudent, sage et modéré, la majorité des Suissesses et des Suisses a donné un ordre clair aux pouvoirs politiques:
nous ne voulons pas nuire à la qualité et au mode de vie suisses. Transie de peur, agenouillé devant l’UE, la classe politique a préféré trahir le serment qu’elle doit au peuple suisse plutôt que d’affronter vigoureusement Bruxelles. En décembre 2016, elle a donc voté une loi d’application contraire à l’article constitutionnel pourtant voté par le peuple. A choisir entre la capitulation et la résistance, l’UDC choisit la
résistance et c’est la raison pour laquelle nous soumettons au peuple suisse cette seconde initiative pour modérer l’immigration.
Ne tombons pas dans le piège de la paresse
La récente crise du coronavirus a permis de mettre en relief, à la fois, l’imposture des fonctionnaires de l’UE et sa coûteuse inutilité
bureaucratique et, à la fois, l’importance des politiques locales et souveraines.
Ces changements géopolitiques sont autant un piège qu’une opportunité. Pourquoi ? Parce que les peuples ne sont pas bêtes et ont compris que face à une crise globale, la solution a été nationale et locale. Evidemment, nous autres membres et sympathisants de l’UDC, avons le sentiment que nos préceptes politiques sont légitimés par cette situation et nous pourrions avoir la bêtise de penser que nous allons gagner cette campagne sans même devoir livrer bataille. Un tel raisonnement est une grave erreur !
Je lance un appel à nous lever et à nous mobiliser
La victoire nous tend les bras, c’est vrai, mais à la stricte condition de livrer pour nos mode et qualité de vie ne dépend que du nombre de personnes disposées à se lever et à se mobiliser maintenant. Si vous tenez ce journal entre vos mains, c’est probablement parce que vous êtes au moins électeur de l’UDC. C’est maintenant qu’il faut donner du sens à votre engagement pour notre pays.
Il y a de nombreux moyens de s’engager en faveur du OUI à l’initiative de limitation : sur internet, dans la rue, en posant des affiches ou en organisant des rencontres, en écrivant des courriers de lecteur où en sponsorisant l’envoi d’un toutménage. Soyez à nos côtés, en première ligne, pour défendre notre pays. Si vous ne nous rejoignez pas pour mener cette bataille, alors personne d’autre ne le fera !
D’avance merci pour votre inestimable engagement en faveur de notre pays.