Enracinés et libres
C’est avec ce slogan et avec l’affiche suivante que les candidats de l’UDC du Valais romand se mettent à la disposition des Valaisannes et des Valaisans.
Enracinés…
Nous ne venons pas de nulle part. Nous sommes nés sur une terre, dans un canton, dans un Pays que nos ancêtres ont faits. Nos racines, nous en sommes fiers. Nous sommes les héritiers, les dépositaires d’une civilisation, de traditions que nous voulons faire vivre. Pour nous, ce ne sont pas des reliques du passé. Ce sont juste des repères. C’est le socle sur lequel, ensemble, nous voulons construire l’avenir. Avec vous.
Comme l’alpiniste, c’est devant que nous regardons. Et vers le haut. Cette paroi, c’est un peu comme les obstacles qui sont là, pour nous, comme autant de défis que nous voulons surmonter. Cet alpiniste, il est jeune, tout comme cette jeunesse en laquelle nous croyons pour nous aider à construire le Valais treize étoiles de demain.
Aujourd’hui, pour beaucoup, le ciel est sombre. Le Pays, notre canton s’enfoncent dans la crise. Et pourtant, dans nos cœurs comme souvent heureusement dans ce noble Pays de nos amours, le ciel est bleu. Comme la lumière au bout du tunnel.
…et libres !
Certes, beaucoup ne sont plus libres de travailler et d’entreprendre. Nous ne sommes plus libres de nous réunir ni de sortir, ni de faire du sport en salle. L’Etat décide du nombre des invités dans notre propre maison. Nos proches en EMS, les malades dans les hôpitaux sont isolés. On refuse des fidèles dans nos églises quand le quota fixé par l’Etat est atteint. Entre le masque obligatoire et les gestes-barrières, on casse tous les jours un peu plus de lien social. Les gens seuls se sentent toujours plus seuls. Les entreprises, les indépendants au premier chef tirent toujours plus la langue. Les soutiens financiers sont trop souvent insuffisants et compliqués à obtenir ; ou alors, ils arrivent trop tard. Certains, de plus en plus nombreux, sont à bout. Mais docilement, nous acceptons ces restrictions qu’on nous vend comme le prix à payer pour notre liberté. Et voici qu’on nous prépare déjà à poursuivre notre calvaire !
Même si elles n’en finissent pas, ces restrictions ne sont toutefois pas une fatalité. Il ne tient qu’à nous de reprendre notre destin en mains, simplement en prenant les listes UDC au Grand Conseil et en votant Franz Ruppen au Conseil d’Etat. Car l’UDC l’a montré depuis des mois maintenant : c’est le seul parti qui, de façon conséquente, défend nos libertés ; c’est le parti de la liberté.
Ces élections cantonales, c’est un peu comme un référendum pour la liberté. Vous n’en pouvez plus ? Vous avez besoin de vivre, de respirer, de travailler ? Alors réagissez ! Votez et faites voter UDC !