Femmes : quand immigration rime avec agression
L’année 2022 a été une année migratoire record pour notre pays. 188’000 personnes ont immigré en Suisse, dont 100’000 sont arrivés par la voie de l’asile. L’augmentation de l’immigration signifie aussi l’augmentation des agressions, particulièrement contre les femmes. C’est en tout cas ce que révèlent les statistiques policières.
Près de 200’000 immigrés sont arrivés en Suisse en 2022 (à titre de comparaison, la plus grande ville de Suisse romande, Genève, comptait 204’000 habitants en 2021), ce qui cause d’énormes problèmes sociaux et infrastructurels. Les hôpitaux, les écoles, les routes, les trains sont surchargés. Idem pour les services sociaux. En matière de logements, c’est également catastrophique. Dans certains cantons, les locataires indigènes sont purement et simplement expulsés de leur logement par les autorités afin de laisser place aux réfugiés politiques.
Malheureusement, un autre secteur est totalement saturé par une immigration massive : celui de la chaîne pénale. Les immigrés sont surreprésentés dans les procédures pénales et dans le milieu carcéral, c’est un fait. En moyenne nationale, plus des deux tiers des prisonniers sont étrangers. A Genève, la prison de Champ-Dollon compte plus de 80% d’étrangers parmi sa population carcérale.
Trop d’immigrés importent une vision rétrograde des femmes
Si la proportion d’immigrés condamnés pénalement est généralement supérieure à la proportion d’étrangers pour toutes sortes d’infractions (vols, stupéfiants, traites d’êtres humains), c’est particulièrement vrai pour tous les crimes sur l’intégrité sexuelle.
Disons-le d’emblée et clarifions les choses pour éviter les raccourcis : la très grande majorité des immigrés respectent l’intégrité des femmes et il faut écarter immédiatement tout réflexe discriminant à ce sujet. Inversement, il faut aussi écarter immédiatement tout aveuglement hypocrite à ce sujet et faire face aux faits. Trop d’immigrés s’en prennent aux femmes et à leur intégrité corporelle ou sexuelle. Trop de femmes sont victimes d’attouchements, de contraintes et même de viols commis par des immigrés.
Au lieu de voir la réalité telle qu’elle est, la gauche préfère parler de « masculinité toxique » n’hésitant pas à mettre tous les hommes dans le même panier. Elle justifie la surproportion d’immigrés en invoquant des trajectoires de vie douloureuses et des blessures passées, relativisant au passage le crime commis contre la victime féminine et le traumatisme ainsi infligé.
En réalité, la surproportion des immigrés parmi les auteurs d’agressions contre les femmes trouve son explication dans les mœurs culturelles que certains d’entre eux importent en Suisse. Ils viennent de régions dans lesquelles les femmes sont inférieures aux hommes et où elles ne peuvent refuser les avances d’un homme. Cette image rétrograde des femmes n’a pas sa place en Suisse !