Il faut en finir avec la politique favorable aux faux demandeurs d’asile !
D’ici 2023, le Secrétariat d’État aux migrations (SEM) prévoit jusqu’à 40’000 nouvelles demandes d’asile, un nombre important d’entrées illégales, avec des conséquences facilement imaginables: sécurité publique en danger, explosion des coûts sociaux et problèmes d’intégration assurés.
La population suisse a désormais dépassé les 9 millions d’habitants, ce qui est démesuré pour un petit pays comme le nôtre. La libre circulation des personnes a permis une immigration incontrôlée, qui a entraîné une augmentation de la population de 20% en deux décennies. En comparaison, c’est vingt fois plus qu’en Allemagne ! De plus, le système d’asile dysfonctionne, car au lieu de donner une protection à ceux dont la vie est réellement en danger – comme le prévoit la loi – il encourage l’immigration illégale et l’arrivée de migrants économiques dans notre pays connu pour avoir un système social très généreux et accessible. La pression aux frontières est tangible, en témoignent rien que les chiffres de l’an dernier : les gardes-frontières suisses ont enregistré plus de 52’000 immigrants illégaux. Des chiffres qui devraient inquiéter tout le monde, mais au lieu de cela, les partis du centre et de la gauche continuent de faire la sourde oreille.
Les criminels étrangers restent en Suisse
Des chiffres trop élevés dans le secteur de l’asile entraînent non seulement une augmentation significative des coûts pour les communes, les cantons et la Confédération, mais aussi d’inévitables problèmes de sécurité et de nombreuses difficultés d’intégration. D’autre part, les statistiques sont claires : le taux de criminalité au sein de la population étrangère, pourtant minoritaire, est bien plus élevé qu’au sein de la population suisse. Au lieu de les expulser, comme l’a décidé le peuple en 2010, les tribunaux tentent par tous les moyens de contourner la Constitution, permettant de fait aux criminels étrangers de rester en Suisse.
Le moment est venu de prendre le taureau par les cornes et d’exiger que :
- La Suisse gère à nouveau l’immigration de façon autonome ;
- Les étrangers criminels soient systématiquement expulsés ;
- Le droit de séjour soit refusé aux profiteurs de l’asile.
Enfin, il faut lutter contre les ONG qui facilitent l’immigration clandestine à travers la mer Méditerranée, en obligeant les migraants à demander l’asile dans leur propre pays ou dans des pays sûrs en Afrique. Ce n’est que de cette manière que nous pourrons réduire le nombre de demandeurs d’asile et endiguer un phénomène qui devient de plus en plus insupportable et insoutenable. La nouvelle conseillère fédérale en charge du DFJP Elisabeth Baume-Schneider (PS) doit agir immédiatement pour endiguer ce phénomène qui submerge notre pays. Face à d’aussi graves problèmes, nous avons besoin de réponses claires et décisives.