Electricité : coûts survoltés
Le oui à la loi sur le climat et son tout à l’électrique apporte plus de problèmes que de solutions et les coûts survoltés pénalisent tout le pays !
Le 18 juin dernier, 40.9% des électeurs et électrices ont suivi la position de l’UDC. Si notre référendum a été un succès, le courant n’aura pas passé et vos 956’814 « non » n’auront pas suffi à renverser la vapeur ! Bravo à tous ceux et à toutes celles qui nous ont soutenu et qui ont combattu cette trompeuse loi sur le climat. Trompeuse oui, parce que maintenant, et malgré les milliards de francs engagés par la Confédération, les glaciers ne vont pas arrêter de fondre… La transition énergétique ainsi lancée ne va pas être une promenade de santé. Comment la Suisse va-t-elle couvrir ses propres besoins en électricité? Comment va-t-elle garantir l’indépendance de son auto approvisionnement ?
Promesses de campagne : nous attendons les partisans au tournant
Où sont donc les belles promesses des partisans du oui ? Pas d’interdiction, pas d’accroissement des coûts, etc… Aujourd’hui déjà, le prix en hausse de l’électricité pénalise le budget d’un ménage. Mais aussi tous les secteurs de production de notre économie, industries, PME, agriculture, sans oublier l’augmentation des prix des transports publics. Et par cascade, tout finit par amaigrir le porte-monnaie du consommateur. Avec cette loi, notre pays marche tout droit vers un gouffre à électricité. L’UDC voulait d’abord, raisonnablement, garantir notre propre production… Demain, il faudra bien nous y mettre, et avec ceux et celles qui, hier, aveuglés par une idéologie climatique, nous taxaient d’irresponsables.