L’immigration incontrôlée nuit à la Suisse
Les conséquences de l’immigration incontrôlée se font sentir dans de nombreux domaines de la vie, en particulier dans les entreprises. Et ce n’est pas réjouissant.
Parmi les principales préoccupations des entreprises artisanales on ne retrouve pas seulement les difficultés de livraison, l’inflation élevée ou la planification de la succession, mais aussi et surtout le manque de main-d’œuvre. Malgré des efforts intensifs, on ne peut pas ignorer que ce ne sont pas les bonnes personnes qui viennent en Suisse.
En 2022, la Suisse a enregistré une immigration nette d’environ 80’000 personnes. A cela s’ajoutent 24’511 demandeurs d’asile et 74’959 Ukrainiens qui avaient demandé le statut S.
Ce qui donne un total d’environ 180’000 personnes supplémentaire dans notre pays, soit l’équivalant du canton de Neuchâtel.
Des conséquences négatives, à quoi bon ?
Les conséquences négatives pour notre infrastructure, l’économie les vit tous les jours sur la route : les heures d’embouteillage ont doublé en seulement dix ans. Cela sans parler de l’augmentation des loyers et de la surcharge des infrastructures critiques. Pourtant, l’immigration ne résout pas la pénurie de main-d’œuvre qualifiée
Le fait est que le potentiel de main-d’œuvre supplémentaire n’arrive pas sur le marché du travail, mais émigre trop souvent directement vers l’État social. En fait, la part de la population active se réduit. Il est évident que cela ne peut pas durer. C’est pourquoi nous devons enfin gérer l’immigration de manière à ce qu’elle profite à notre pays et à notre économie.
Pour y parvenir, merci de signer l’initiative « Pour la durabilité » !