Non à l’assurance tous risques pour les demandeurs d’asile – Stoppons l’immigration vers nos systèmes sociaux !
Incroyable mais vrai : 87 réfugiés sur 100 vivent de l’aide sociale. Nous ne pouvons plus nous le permettre.
Le nombre de demandes d’asile sera cette année plus élevé qu’il ne l’a été depuis longtemps. Une part importante des demandeurs obtient un droit de séjour. Ces dernières années, ce taux était constamment supérieur à 60 % !
Ceux qui peuvent rester sont attribués aux communes. Cela implique la tâche d’amener un grand nombre de personnes issues d’autres cultures et généralement sans formation à l’autonomie financière et cela se solde presque toujours par un échec, avec d’énormes conséquences financières.
Toute personne ayant obtenu le statut de réfugié a droit aux mêmes prestations de l’Etat social que les autochtones. C’est ce que prescrit la Convention de Genève sur les réfugiés de 1951, qui est toujours en vigueur aujourd’hui malgré des circonstances géopolitiques totalement différentes. Cela n’incite guère à l’indépendance économique, avec pour conséquence aussi édifiante que 86,5 % des réfugiés aptes à travailler vivaient, fin 2021, de nos prestations sociales.
Des incitations totalement erronées
La deuxième catégorie est celle des demandeurs d’asile et des personnes admises à titre provisoire qui séjournent en Suisse depuis 7 ans au maximum. Parmi eux, 87,4 % dépendaient de l’aide sociale au 31 décembre 2021, ce qui signifie que sur 1’000 personnes dans cette catégorie, 874 sont des bénéficiaires de l’aide sociale !
Ces taux élevés n’ont guère évolué au cours des dernières années. Les bénéficiaires de l’aide sociale ont existé de tout temps, mais certainement pas dans une telle mesure et avec une charge financière comme aujourd’hui. Au lieu d’être une solution de dépannage, l’institution de l’aide sociale est devenue une sorte d’assurance tous risques. Ce n’est pas en premier lieu la faute des bénéficiaires, mais celle de l’Etat, qui se trompe totalement d’incitations.