Empêchons la politique de suicide économique de la gauche !
Avec la 13e rente AVS, la gauche mène une attaque majeure contre notre porte-monnaie. Par ailleurs, cette frange politique manque de discipline budgétaire. L’UDC s’oppose à cette politique négligente et se bat
résolument pour des finances publiques saines
Des finances saines sont le fondement d’un Etat sain. En d’autres termes : Un Etat qui ne maîtrise pas ses finances n’est pas en bonne santé, c’est un Etat malade. Nous devons garder cela à l’esprit en 2024 également, car en matière de politique financière, nous sommes confrontés à d’énormes défis. La majorité de centre-gauche du Parlement manque de discipline budgétaire et trouve sans cesse de nouvelles astuces pour dilapider l’argent public.
La 13e rente AVS coûterait 5 milliards par an
La gauche lance une attaque d’envergure contre le porte-monnaie des contribuables et de la population active avec une 13e rente AVS, sur laquelle nous voterons le 3 mars, qui prévoit de distribuer l’argent selon la technique de l’arrosoir. Cette politique entraînera des coûts exorbitants de 5 milliards de francs par an et c’est la classe moyenne et, in fine, tout le monde qui devra en payer le prix fort, par le biais d’une hausse de la TVA et des déductions salariales.
La politique de la gauche fonctionne toujours selon le même schéma : les gauchistes redistribuent. Ils dépensent l’argent des autres, qu’ils n’ont pas gagné eux-mêmes. Ce faisant, ils réussissent encore l’exploit de se présenter comme les vainqueurs moraux de ce pillage de nos caisses, avec l’argent durement gagné par les contribuables. Nous devons nous opposer résolument à ce suicide économique teinté de mensonges.
Stop à la frénétique politique migratoire qui coûte des milliards
Il en va de même pour le domaine de l’asile. Là aussi, les coûts sont complètement démesurés. Ils se sont multipliés en très peu de temps pour atteindre 4 milliards de francs par an rien que sur le plan fédéral. Les coûts consécutifs pour les cantons et les communes dépassent de loin ce montant et à long terme, nous ne pourrons pas assumer cette charge. L’échec total de la politique d’asile doit être stoppé et l’UDC est le seul parti à proposer des solutions efficaces.
La politique europhile du Conseil fédéral continuera également à nous préoccuper cette année. Le nouveau mandat de négociation avec Bruxelles n’est que du réchauffé de l’accord-cadre précédemment enterré. Le Conseil fédéral veut soumettre la Suisse au diktat de l’UE, forçant une reprise automatique du droit européen, l’autorité un tribunal de l’UE et donc des juges étrangers. Ce serait la fin de notre autodétermination et de notre démocratie directe. L’UDC s’y opposera fermement !