Le chaos de l’asile entraîne une hausse des coûts de la santé
La majorité des demandeurs d’asile ne sont pas des réfugiés, mais des migrants d’asile qui abusent de notre système. Ils font exploser les coûts, notamment dans le secteur de la santé. Il faut enfin mettre un terme à ces abus !
Ils arrivent par plusieurs pays tiers sûrs et souvent par la mer. Ils perdent toujours leurs papiers d’identité mais jamais leurs téléphones portables. Dans l’absolue majorité, ce ne sont pas de véritables réfugiés, mais de purs migrants économiques en quête de profit et généralement aux frais des contribuables suisses. Notre tradition humanitaire, le droit international et même notre bonhomie sont bafoués. Il en va de même dans le domaine de l’asile : trop de personnes arrivent et ce ne sont pas les bonnes !
Malgré plusieurs demandes, la Confédération n’a toujours pas de chiffres précis sur ce que nous coûtent ces gigantesques abus en matière d’asile. Même dans le domaine de la santé, la Confédération ne dispose pas de chiffres, alors qu’il serait facile de déterminer les coûts dans ce domaine. Le Conseil fédéral rechigne à déterminer et surtout à publier les coûts, car il ne veut sans doute pas risquer un soulèvement populaire.
Alors pourquoi ne pas donner un coup de pouce à la Confédération ? Si les fonctionnaires grassement payés ne sont pas en mesure de calculer les coûts, nous devons tout simplement procéder à une estimation.
Des migrants coûteux
Selon le rapport de recherche « Gesundheitsversorgung und -kosten von Asylsuchenden in Basel » de 2005, les demandeurs d’asile coûtent 40 % de plus que la moyenne de la population résidente dans le domaine de la santé. Si nous extrapolons le chiffre publié dans le rapport de 3’796 francs par demandeur d’asile présent et par an pour les primes d’assurance maladie avec l’augmentation des coûts, nous arrivons à un coût annuel moyen de 5’368 francs par demandeur d’asile. Pour les 133’909 personnes présentes au 30 novembre 2023 selon les statistiques de l’asile de la Confédération, cela représente près de 719 millions de francs, rien que pour les primes d’assurance maladie. Si l’on part du principe qu’un payeur de primes ne paie qu’environ 42 % des frais de santé qu’il occasionne, les abus dans le domaine de l’asile génèrent des coûts de santé nettement supérieurs à 1.7 milliard de francs !
A cela s’ajoutent encore les coûts de l’aide sociale, les coûts de sécurité, les coûts de formation et bien d’autres encore. Rien que pour la Confédération, le domaine de l’asile a coûté 4 milliards de francs l’année dernière. Il faut enfin mettre un terme à ces abus titanesques !