NON à l’attaque contre notre indépendance !
Avec le nouveau paquet d’accords avec l’UE, la Suisse renoncera à son autodétermination et sabotera sa prospérité. Ces traités signent la fin de la « voie bilatérale » tant appréciée.
Avant Noël, la présidente de la Confédération Viola Amherd, qui a entre-temps démissionné, et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont annoncé la fin des négociations sur le traité de soumission. Au lieu de parler clairement, elles se sont réfugiées dans des tapes dans le dos réciproques et une harmonie feinte. Pas un mot sur les plus de 30 lois que la Suisse devrait adapter immédiatement, ni sur les 150 directives européennes qui nous seront imposées et encore moins sur tous les futurs décrets de l’UE que nous devrons également adopter.
Les deux présidentes ont fait une démonstration de force. Elles ont signalé à la population inquiète : « Ne vous inquiétez pas, ça va aller ! » Mais une telle politique symbolique ne peut pas masquer l’évidence : Dans une UE surréglementée, seules les dettes et les prix augmentent. Moins d’argent dans le porte-monnaie, immigration de masse, terrorisme, licenciements massifs et soulèvements populaires … Les citoyens se révoltent dans les urnes sans être entendus. Au lieu de cela, le peuple est systématiquement muselé.
Un paquet de mensonges dévastateur
Avec le paquet d’accords, la Suisse devra reprendre aveuglément toute la bureaucratie de l’UE. Si la Suisse ne veut pas reprendre les lois désavantageuses, l’UE lui imposera des sanctions. Des juges étrangers de la Cour de justice européenne décideront à notre place. Ce n’est ni plus ni moins qu’un traité colonial. Pendant ce temps, l’immigration augmentera, la clause de sauvegarde n’est pas nouvelle et n’a jamais fonctionné. Le comble, c’est que pour tout cela, nous devrons encore payer des milliards de francs de tribu à cette UE en crise !
Disons NON ! Car nous voulons décider nous-mêmes de notre avenir ! Nous voulons conserver notre liberté et notre prospérité.
Nous refusons clairement la reprise automatique des réglementations de cette UE chancelante !