"Nos règles sont valables pour tous" – voilà le principe de l’initiative populaire "pour le renvoi des étrangers criminels" que l’UDC a déposée aujourd’hui avec plus de 232 000 signatures. Il…
(UDC) « Nos règles sont valables pour tous » – voilà le principe de l’initiative populaire « pour le renvoi des étrangers criminels » que l’UDC a déposée aujourd’hui avec plus de 232 000 signatures. Il s’agit d’appliquer à nouveau dans toute leur rigueur les lois et règles de ce pays. Les personnes qui ne s’y tiennent pas ont perdu tout droit à l’hospitalité de la Suisse. Les étrangers qui tombent dans la criminalité ou qui vivent aux frais de la collectivité en abusant des institutions sociales doivent quitter le pays.
Ces dernières semaines la violence juvénile et étrangère a une fois de plus fait les gros titres de la presse. Mais ce ne sont pas les seules raisons qui poussent de larges couches de la population à soutenir les idées de l’UDC en politique de sécurité et des étrangers. Il est grand temps que la politique cesse de fermer les yeux ou de minimiser ce problème réel. Les chiffres de la statistique criminelle sont effrayants. Le chaos dans les écoles et la violence près des gares ne sont plus acceptables. Cette situation, nous la devons à la gauche et aux autres bienpensants. La population en a définitivement assez.
L’initiative populaire « pour le renvoi des étrangers criminels » a réuni un nombre record de signatures. 232 749 citoyennes et citoyens l’ont signée, 210 770 signatures attestées ont été déposées aujourd’hui à la Chancellerie fédérale.
L’initiative UDC pour le renvoi clarifie la situation:
L’initiative « pour le renvoi des étrangers criminels » est un pas important dans la lutte contre les problèmes de violence et de criminalité que posent des étrangers. Une personne qui viole les lois du pays ou qui s’offre une vie agréable en abusant des œuvres sociales n’a pas sa place en Suisse. Nous ne voulons pas de ces brebis galeuses ou de ces moutons noirs.
L’UDC a fait son travail – la balle est désormais dans le camp du gouvernement. Le Conseil fédéral doit traiter rapidement cette initiative afin qu’elle puisse être soumise au peuple dans les plus brefs délais. Le temps presse, car la colère de la population est grande.
Berne, 15 février 2008