Le ministre de la santé et son OFSP produisent les pannes à la chaîne. Dernier exemple en date: l’acquisition de doses de vaccin et le plan de vaccination. Et voilà qu’Alain Berset veut tout simplement reporter la décision sur l’assouplissement du confinement. Cette politique arbitraire doit cesser! L’UDC exige du Conseil fédéral qu’il décide la semaine prochaine de lever le confinement au début du mois de mars.
Le ministre de la santé Alain Berset a fait annoncer aux médias de Suisse romande que le Conseil fédéral ne déciderait pas – comme prévu – mercredi prochain d’un éventuel assouplissement du confinement, mais seulement le 24 février. Il resterait donc juste quatre jours (!) aux entreprises pour réagir. Berset recourt manifestement à toutes les combines possibles et imaginables pour empêcher une levée raisonnable des restrictions.
La question surgit avec de plus en plus d’instance: Alain Berset peut-il donc faire tout ce qu’il veut? Alors que les conseillers fédéraux UDC Ueli Maurer et Guy Parmelin se battent contre la politique Covid-19 destructrice du gouvernement, les autres conseillers fédéraux prétendument de droite se sont apparemment retirés de la scène – admettant ainsi des dommages durables pour notre pays.
Qu’est-ce que la population suisse doit-elle encore accepter?
Et comment se présente la politique du Conseil fédéral?
L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) multiplie les pannes: manque de matériel de protection au printemps dernier, informations contradictoires sur les masques respiratoires, traçage des contacts qui ne fonctionne pas, absence de concept national de protection des homes pour personnes âgées et homes médicalisés, mesures arbitraires et contradictoires, débâcle de l’acquisition de vaccins et du plan de vaccination.
Le conseiller fédéral Berset et son OFSP tentent de détourner l’attention de leurs erreurs en multipliant les mesures draconiennes. Pendant ce temps, cette politique de confinement destructrice génère des dommages sociaux, sociétaux et économiques de plus en plus lourds.
L’UDC exige du Conseil fédéral qu’il décide le 17 février de la fin du confinement
L’UDC poursuit une stratégie claire depuis mars 2020: protéger efficacement les groupes à risque, mais permettre au reste de la population de vivre et travailler librement tout en respectant des mesures de protection efficaces comme la distanciation sociale, l’hygiène et le port de masques aussi longtemps que la pandémie de Covid-19 est aiguë. La pétition « Stop Lockdown » confirme que des centaines de milliers d’habitants de la Suisse soutiennent cette politique.
Nous exigeons que le Conseil fédéral décide – comme prévu – le 17 février de mettre fin au confinement début mars – pour que la population suisse puisse à nouveau vivre et travailler.