Une étude qui vient d’être publiée confirme la forte hausse du nombre de délits violents, de cambriolages et de menaces depuis 2004. La Suisse a ainsi atteint le taux européen de criminalité. Cela…
Une étude qui vient d’être publiée confirme la forte hausse du nombre de délits violents, de cambriolages et de menaces depuis 2004. La Suisse a ainsi atteint le taux européen de criminalité. Cela fait des années que l’UDC se bat pour un durcissement du droit pénal et une action rigoureuse contre la criminalité étrangère. Le Conseil fédéral et le Parlement ont empêché jusqu’ici que des mesures sévères soient prises. Ils portent donc une part de responsabilité du développement actuel.
Selon une étude présentée hier par les commandants des polices cantonales, la criminalité a fortement augmenté en Suisse depuis 2004. 10% de la population helvétique ont été victimes d’agressions et de menaces durant les cinq ans écoulés. D’autres délits pénaux ont aussi sensiblement progressé, si bien que la Suisse s’est alignée sur le reste de l’Europe en termes de criminalité. Selon les experts, ce développement s’explique avant tout par le laxisme en matière pénale et l’immigration.
Cette étude confirme ce que l’UDC relève depuis des années: un droit pénal complaisant à l’égard des malfaiteurs, des frontières ouvertes et une immigration incontrôlée entraînent une baisse massive de la sécurité publique. Or, le Conseil fédéral et les autres partis politiques bloquent systématiquement toutes les solutions. Les nombreuses propositions avancées par l’UDC ont été rejetées, notamment par le PLR et le PDC. Pourtant acceptée par le peuple et les cantons, l’initiative UDC pour le renvoi des étrangers criminels n’est pas appliquée par le Conseil fédéral et ce dernier a menti aux citoyennes et aux citoyens quant aux conséquences de l’accord de Schengen.
L’UDC exige une fois de plus des mesures efficaces en faveur de la sécurité intérieure:
L’UDC invite le Conseil fédéral et les autres partis politiques à abandonner leur attitude passive et à s’inquiéter enfin de la sécurité des citoyennes et des citoyens en soutenant les propositions et exigences de l’UDC au lieu de les bloquer.
Berne, 31.08.2011