Communiqué de presse

Criminalité étrangÈre: Le PS, les VERTS, le PDC ET le PRD en portent la responsabilité

Le 1er août 2007 l’UDC se rend à domicile chez chaque Suissesse et chaque Suisse. La feuille de signatures de l’initiative populaire pour le renvoi des étrangers criminels (initiative sur le…

(UDC) Le 1er août 2007 l’UDC se rend à domicile chez chaque Suissesse et chaque Suisse. La feuille de signatures de l’initiative populaire pour le renvoi des étrangers criminels (initiative sur le renvoi) sera en effet distribuée dans tous les ménages du pays. Ce sera une des plus grandes actions de récolte de signatures jamais organisées dans ce pays. Ainsi, les Suisses auront la possibilité en ce jour de la Fête nationale de non seulement écouter des discours, mais aussi de faire quelque chose de concret pour leur pays. Ils peuvent signer un projet qui leur donnera plus de sécurité. Plus de sécurité contre les étrangers criminels. Cette criminalité étrangère, le PS, les Verts, le PDC et le PRD en portent l’essentiel de la responsabilité.

Pour les Verts, c’est un droit humanitaire que de pouvoir s’établir librement n’importe où. Ils demandent l’admission collective des sans-papiers, la naturalisation facilitée, des droits politiques pour les étrangers. Et, dans la bonne tradition totalitaire, un programme d’instruction publique politisé: l’interdiction du racisme doit faire partie intégrante de la formation. Résultat: plus d’immigration et moins de Suisse.

Pour le PS, la Suisse est un pays d’immigration. De l’avis des socialistes, l’immigration en Suisse doit même être forcée: ils demandent le regroupement familial immédiat et sans condition. Non seulement pour les enfants, mais aussi pour les adultes jusqu’à 21 ans. Le PS va même plus loin en exigeant que les conditions d’admission accordées aux citoyens UE s’appliquent à tous les immigrants. C’est la fin de la politique d’immigration. La Suisse laisse entrer tout le monde.

Le PDC demande l’institution de préposés à l’intégration, de médiateurs culturels et linguistiques. Et, bien sûr, que la Confédération paie tout cela. Là encore, on nous dit que l’immigration est un enrichissement pour la Suisse et que l’intégration est l’affaire des Suisses. La conseillère fédérale PDC Ruth Metzler voulait faciliter la naturalisation. Le PDC est même contre l’indication de la nationalité dans les communiqués de police.

Dans le programme politique du PRD aussi on lit que l’intégration des étrangers est une tâche centrale de l’Etat. Les radicaux croient qu’on fait des étrangers des Suisses en leur donnant le droit de vote et d’élection communal. Dans les parlements cantonaux, des élus radicaux déclarent que la naturalisation est un acte administratif par analogie à l’attribution d’un permis de conduire. Le PRD aussi considère que l’intégration est avant tout l’affaire de l’Etat et non pas celle des immigrants. Et, bien sûr, on se souvient du conseiller fédéral Pascal Couchepin qui a reproché à l’UDC de faire du populisme quand elle exigeait une action plus sévère contre la violence juvénile importée et qui demandait de plus larges droits de participation en faveur des jeunes dans les questions scolaires. Et aujourd’hui, le conseiller fédéral Pascal Couchepin en est même à réclamer la naturalisation automatique en masse des étrangers de la troisième génération.

Ces quatre partis portent la responsabilité de l’immigration en masse et de la criminalité étrangère qui en découle. L’UDC reprend à son compte le besoin des Suissesses et des Suisses de plus de sécurité, de plus de limites et d’une action plus rigoureuse contre celles et ceux qui franchissent ces limites. L’initiative sur le renvoi offre une solution. Le 1er août chaque Suissesse et chaque Suisse pourra la signer.

Berne, 26 juillet 2007

 
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