Le conseiller fédéral Pascal Couchepin fait une fois de plus la preuve d’un manque évident de courage en refusant de s’attaquer sérieusement aux problèmes qu’affronte l’assurance-invalidité. Les cas d
(UDC) Le conseiller fédéral Pascal Couchepin fait une fois de plus la preuve d’un manque évident de courage en refusant de s’attaquer sérieusement aux problèmes qu’affronte l’assurance-invalidité. Les cas de plus en plus nombreux d’invalidité simulée chargent la caisse fédérale de plusieurs milliards de francs par an. Le groupe UDC demande que le Conseil fédéral passe enfin aux actes et qu’il prenne des mesures efficaces. Il faut ouvrir un débat urgent sur le thème de l’invalidité simulée et prendre les mesures de correction qui s’imposent avant de présenter un nouveau projet de financement.
Les dysfonctionnements dans le secteur de l’assurance-invalidité sont évidents. Les coûts échappent de plus en plus au contrôle, mais au lieu de regarder ces problèmes en face, le conseiller fédéral Pascal Couchepin se contente de demander une augmentation des impôts. C’est se moquer des citoyens et mépriser le résultat clair et net d’une votation!
Le groupe UDC demande donc un débat urgent sur le thème de l’invalidité simulée et demande au Conseil fédéral de répondre notamment aux questions suivantes:
Une augmentation des impôts ne résout évidemment pas le problème. Il faut s’attaquer à la racine du mal et ne pas se contenter de faire passer les contribuables à la caisse. Le groupe UDC maintiendra la pression sur le Conseil fédéral et les autorités concernées afin d’éliminer aussi rapidement que possible ces dysfonctionnements.
Berne, 22 mai 2003