Les chiffres de l’asile explosent. La majorité des demandeurs d’asile ne sont pas des réfugiés, mais des migrants qui profitent de notre système. Les conséquences en sont désastreuses : Les coûts s’élèvent à 4 milliards de francs rien que pour la Confédération, les cantons et les communes sont saturés. Au lieu de mettre enfin un terme au chaos de l’asile et de lancer une offensive d’expulsion des demandeurs d’asile déboutés, la conseillère fédérale socialiste Elisabeth Baume-Schneider lance une offensive d’importation : Elle veut maintenant faire venir des centaines de demandeurs d’asile directement en Suisse par avion.
La ministre de l’Asile Elisabeth Baume-Schneider a manifestement perdu le contact avec la population et la réalité. C’est la seule façon d’expliquer qu’elle ne tienne pas compte de la décision du Conseil des Etats, qui a approuvé la motion UDC 23.3096 « Suspendre le programme de réinstallation 2024/25 », Ou encore le refus que le Conseil des Etats a opposé à ses containers d’asile. Malgré l’explosion des chiffres de l’asile, Elisabeth Baume-Schneider veut imposer la reprise du programme de réinstallation. Concrètement, la conseillère fédérale socialiste veut faire venir encore plus de demandeurs d’asile directement en Suisse et ce bien que la Confédération s’attende déjà à recevoir jusqu’à 40’000 nouvelles demandes d’asile rien qu’en 2023. Le seul point positif est que la majorité du Conseil fédéral ne veut activer le programme de réinstallation que lorsque la situation dans le domaine de l’asile se sera calmée.
Aujourd’hui déjà, les cantons et les communes sont à bout de souffle – les centres d’hébergement sont pleins à craquer. Des locataires suisses sont déjà mis à la rue pour faire de la place aux demandeurs d’asile. Il s’agit en majorité de migrants qui arrivent en Suisse par le biais de trafiquants d’êtres humains. Avec le statut mensonger d’admission provisoire, la plupart d’entre eux peuvent rester ici.
C’est la population suisse qui fait les frais de cette politique irresponsable. En effet, les coûts explosent : la Confédération à elle seule dépense désormais 4 milliards de francs (soit 450 francs par habitant et par an) pour cette politique d’asile complètement ratée. L’éducation de nos enfants en souffre aussi, car dans de nombreuses classes, seuls deux ou trois enfants ne sont pas issus de l’immigration. Il n’y a presque plus de logements libres et abordables, les hôpitaux sont saturés et les coûts de la santé explosent. La criminalité et la violence – notamment envers les femmes – augmentent et on se sent de plus en plus étranger dans notre propre pays.
