Publiée aujourd’hui, la dernière statistique des prisons est effrayante: les prisons suisses sont pleines à craquer. De plus en plus de détenus, soit près de 75%, sont étrangers. Et dire que le Conseil fédéral continue de faire obstruction à l’application de l’initiative pour le renvoi des étrangers criminels! Plus de la moitié des personnes en détention préventive ou détenues pour des motifs de sûreté sont des étrangers sans autorisation de séjour. Voilà une conséquence évidente de l’absence de contrôle aux frontières ainsi que de l’appartenance de la Suisse à l’espace Schengen. Cette statistique illustre l’échec total de la politique alors qu’il s’agit de la sécurité des citoyennes et des citoyens.
Publiée aujourd’hui, la dernière statistique des prisons est effrayante: les prisons suisses sont pleines à craquer. De plus en plus de détenus, soit près de 75%, sont étrangers. Et dire que le Conseil fédéral continue de faire obstruction à l’application de l’initiative pour le renvoi des étrangers criminels! Plus de la moitié des personnes en détention préventive ou détenues pour des motifs de sûreté sont des étrangers sans autorisation de séjour. Voilà une conséquence évidente de l’absence de contrôle aux frontières ainsi que de l’appartenance de la Suisse à l’espace Schengen. Cette statistique illustre l’échec total de la politique alors qu’il s’agit de la sécurité des citoyennes et des citoyens.
Durant les dix ans écoulés, le nombre de détenus étrangers dans les prisons suisses a augmenté de 25% pour atteindre 5258, soit plus de 74% de la totalité de la population carcérale alors que les étrangers représentent 23% de la population suisse. Le nombre de Suisses en détention est resté à peu près stable durant cette période. Parmi les personnes en détention préventive ou pour des motifs de sûreté, la proportion d’étrangers atteint même 82% dont un grand nombre d’individus sans autorisation de séjour et 8% de requérants d’asile criminels.
Ces chiffres confirment une fois de plus si besoin en était que le problème de la criminalité en Suisse est un problème d’étrangers. Et la responsabilité de cette situation incombe aux autorités politiques, le Conseil fédéral en tête. Cela fait plus de trois ans que l’initiative pour le renvoi des étrangers criminels est entrée dans la Constitution fédérale, mais le Conseil fédéral recourt à tous les moyens possibles et imaginables pour ne pas l’appliquer. Il s’avère également que l’on a grossièrement menti au peuple à propos des effets positifs de l’espace Schengen. La réalité est que l’adhésion à l’accord de Schengen a des conséquences désastreuses pour la Suisse en ouvrant grandes les portes aux touristes criminels qui peuvent écumer le pays en franchissant sans peine des frontières non contrôlées.
Cette inaction de la politique compromet la sécurité intérieure de la Suisse et coûte des milliards aux citoyennes et citoyens pour l’exécution des peines et pour les dommages causés par cette criminalité importée. L’UDC mettra tout en œuvre pour corriger cette situation. Quant aux partis du centre, il est grand temps qu’ils annoncent la couleur. La semaine passée, la Commission des affaires juridiques du Conseil national a une fois de plus refusé d’accroître la sécurité en votant contre l’initiative pour le renvoi qui permettrait d’expulser enfin les étrangers criminels.