Pendant le mandat du conseiller fédéral Berset, les primes d’assurance maladie ont augmenté de plus de 40%. Les coûts de la santé ont augmenté de 24 milliards. Le bilan d’Alain Berset en tant que chef de la Santé est embarrassant.
Les primes d’assurance maladie pèsent énormément sur les ménages suisses. L’année prochaine, les primes augmenteront à nouveau de 8.7% en moyenne.
La classe moyenne paie deux fois : outre sa propre prime d’assurance maladie, la classe moyenne doit également cofinancer les frais de santé des demandeurs d’asile, des immigrés et des optimiseurs de temps partiel via l’impôt sur le revenu. Cela ne peut pas continuer ainsi.
L’UDC propose dès lors :
Le PS se plaint alors que son Conseil fédéral ne parvient à rien
Depuis des années, c’est le PS qui se plaint le plus de l’augmentation massive des primes d’assurance maladie. C’est justement le parti qui, en la personne d’Alain Berset, du conseiller fédéral en charge du département de la santé.
Depuis douze ans, Alain Berset est responsable de la politique de santé du Conseil fédéral. Son bilan est embarrassant. Depuis 2010, les coûts de la santé et les primes d’assurance maladie ont complètement dérapé.
Bilan embarrassant : le conseiller fédéral Alain Berset a eu douze ans pour apporter des réformes permettant de freiner durablement la croissance des coûts.
L’immigration, un facteur de coûts
Le plus grand générateur de coûts dans cette chaîne est avant tout l’immigration de masse. Avec une immigration moyenne d’environ 70’000 personnes par an, cela signifie qu’il faut plus de 300 nouveaux médecins, plus de 300 lits d’hôpitaux supplémentaires et plus de 1’700 nouveaux soignants. Cela représente des coûts supplémentaires énormes, qui se traduisent par une hausse des primes d’assurance maladie. Nous nous trouvons dans une spirale sans fin et coûteuse : l’immigration incontrôlée provoque une pénurie de main-d’œuvre qualifiée, ce qui alimente à son tour l’immigration incontrôlée et donc aussi l’augmentation des coûts de la santé.
L’UDC Suisse demande que les immigrés doivent d’abord apporter une contribution solidaire à notre système de santé, par exemple sous la forme de primes ou de franchises nettement plus élevées.