L’UDC remet au conseiller fédéral Beat Jans plus de 200 solutions contre le chaos de l’asile. Malheureusement, ce dernier brille par son absence.
Au début de l’année, Beat Jans a pris la tête du DFJP et a annoncé différentes mesures dans le domaine de l’asile, telles que des procédures plus rapides et de nouveaux accords migratoires. L’UDC se félicite de ce changement d’orientation. Toutefois, des doutes subsistent quant à savoir si les actes seront joints aux paroles.
Ces dernières années, l’UDC a déposé plus de 200 interventions contre le chaos de l’asile. Aujourd’hui, le président du parti Marcel Dettling, le président du groupe parlementaire Thomas Aeschi et le responsable des dossiers d’asile, le conseiller national Pascal Schmid, ont remis ce paquet de solutions au ministre de la Justice. Malheureusement, le conseiller fédéral Beat Jans n’a pas jugé utile de recevoir personnellement la direction du parti de l’UDC.
Des changements fondamentaux sont nécessaires dans le domaine de l’asile : La majorité des demandeurs d’asile ne sont pas des réfugiés, mais de faux réfugiés qio entrent illégalement dans notre pays par plusieurs pays tiers sûrs et abusent de notre système. Parallèlement, la criminalité liée à l’asile explose, il faut y mettre un terme. Si le ministre de l’Asile Beat Jans est vraiment sérieux, nos solutions sont prêtes. Elles comprennent les revendications suivantes, qui auraient un effet immédiat :
Bombe sociale à retardement
La Suisse a pratiquement abandonné le contrôle de ses frontières nationales ; pour la majorité des pays en développement, il existe de facto un droit d’immigration par le biais de l’asile. Il est plus difficile pour un Américain hautement qualifié d’entrer en Suisse que pour un Somalien analphabète. De plus, la majorité des migrants demandeurs d’asile ne présentent pas ou ne veulent pas présenter de papiers d’identité ; les autorités ne savent donc même pas qui entre dans le pays.
Il s’agit d’une bombe à retardement sociale. Trop de migrants demandeurs d’asile sont issus de cultures qui méprisent les femmes, sont criminels et peu ou pas formés ; en bref, ils sont difficilement intégrables. Presque tous les jours, les demandeurs d’asile commettent des actes de violence, des viols, des cambriolages et des vols. La misère de l’asile coûte environ 3.5 milliards de francs aux contribuables, au seul niveau fédéral. Il faut mettre fin immédiatement à ce chaos de l’asile ; conseiller fédéral Beat Jans doit clairement assumer ses responsabilités.