L’UDC rejette les agissements inacceptables et indéfendables du point de vue d’un Etat de droit dont font preuve les autorités et élus politiques allemands à l’égard de la Suisse. Il est évident…
L’UDC rejette les agissements inacceptables et indéfendables du point de vue d’un Etat de droit dont font preuve les autorités et élus politiques allemands à l’égard de la Suisse. Il est évident que les laenders fédéraux allemands dirigés par les socialistes pratiquent du recel. Parallèlement, l’économie suisse se fait grossièrement insulter par ces incendiaires politiques. Il faut dire que mollesse des autorités fédérales suisses les encourage dans cette attitude. L’UDC invite donc le Conseil fédéral à adopter enfin une attitude ferme. En particulier, la Suisse doit renoncer à conclure de nouveaux traités d’Etat avec l’Allemagne aussi longtemps que des autorités allemandes de gauche achètent des données bancaires volées et violent ainsi les principes élémentaires de l’Etat de droit. Les négociations en cours, par exemple en ce qui concerne l’accord sur la navigation aérienne, doivent être immédiatement suspendues. Le Conseil fédéral doit enfin sortir de sa passivité et redresser le cap catastrophique des négociations menées jusqu’ici. La politique extérieure suisse doit retrouver le sérieux et la fiabilité qui la caractérisaient autrefois.
La politique extérieure menée actuellement par la Suisse donne une image pitoyable du Conseil fédéral. Négociations mal préparées et menées, conclusions précipitées, mépris des processus et délais normaux dans la formation des opinions et déclarations mensongères face au public et au Parlement, voilà comment se présente actuellement la politique extérieure suisse, notamment dans le cadre des négociations sur un impôt libératoire avec l’Allemagne. L’UDC invite donc le Conseil fédéral à revenir enfin à une politique extérieure sérieuse et axée sur les intérêts du pays.
Face à l’achat systématique de données bancaires volées par des laenders allemands dirigés par la gauche, le Conseil fédéral et le Parlement doivent enfin adopter une attitude ferme et défendre les intérêts de la Suisse. Le gouvernement allemand doit être invité à clarifier rapidement la situation en ce qui concerne l’exploitation d’informations obtenues de manière illicite. Ce recel pratiqué par des institutions publiques ne peut être toléré. Le comportement des laenders socialistes, qui continuent d’acheter et d’exploiter des données bancaires volées, est inacceptable. Si l’Allemagne ne clarifie pas la situation et poursuit ses attaques contre la souveraineté suisse, il est hors de question de conclure de nouveaux accords avec l’Allemagne.
Toutes les négociations et processus en cours en rapport avec ces accords doivent être immédiatement suspendus ou stoppés par la Suisse. Ce principe vaut notamment pour le traité négocié avec l’Allemagne concernant les effets de l’exploitation de l’aéroport de Zurich-Kloten.