La présidence des Femmes UDC Suisse est surprise par le développement des comptes rendus de presse sur l’affaire Hildebrand. La conférence de presse d’hier, où les journalistes ont fait preuve de…
La présidence des Femmes UDC Suisse est surprise par le développement des comptes rendus de presse sur l’affaire Hildebrand. La conférence de presse d’hier, où les journalistes ont fait preuve de bien peu de curiosité, et sa présentation dans les médias souscitent un certain malaise. L’intégrité morale est sans conteste la première des qualités à exiger du titulaire du poste de président de la Banque nationale. En se déchargeant sur sa femme d’une faute qu’il a lui-même commise sous le prétexte que son épouse est une „personnalité forte », Philipp Hildebrand a eu un comportement déplacé et même injurieux à l’égard de toutes les femmes et épouses réfléchissant et agissant de manière autonome. Il est intolérable que Monsieur Hildebrand fasse tout simplement assumer par sa femme son propre comportement fautif.
Il est donc indispensable de faire toute la lumière sur les affaires de devises et d’actions réalisées par les comptes bancaires de Monsieur et Madame Hildebrand. Cette intervention exige la constitution d’une Commission d’enquête parlementaire.