Lors d’une conférence de presse à Berne, l’UDC lance la récolte des signatures pour l’initiative populaire «Le droit suisse au lieu de juges étrangers (initiative pour l’autodétermination)», qui est publiée aujourd’hui dans la Feuille fédérale.
» Texte de l’initiative
» Argumentaire
» Signez l’initiative ici (PDF)
» Exposé de Toni Brunner (SG), conseiller national, président de l’UDC Suisse
» Exposé de Hans-Ueli Vogt (ZH), député
» Exposé de Christoph Blocher (ZH), vice-président de l’UDC Suisse
» Exposé d’Yves Niddeger (GE), conseiller national
Lors d’une conférence de presse à Berne, l’UDC lance la récolte des signatures pour l’initiative populaire «Le droit suisse au lieu de juges étrangers (initiative pour l’autodétermination)», qui est publiée aujourd’hui dans la Feuille fédérale. Les citoyennes et les citoyens suisses ont le dernier mot dans leur pays. Le peuple et les cantons décident du droit suprême applicable en Suisse. Ils forment le souverain, l’autorité législative suprême. Ils sont le constituant. Ce régime a été bénéfique pour notre pays. Notre ordre libéral, mais aussi notre Etat social sont nés sur cette base et non pas par le rattachement à des organisations internationales ou des tribunaux étrangers. Garantissant la sécurité du droit et la stabilité, ce régime qui a fait les preuves de son efficacité est aussi une condition-cadre essentielle à une économie attractive et performante.
L’autodétermination et l’indépendance sont cependant menacées:
Les conséquences pour nous autres Suisses
La sécurité du droit et la stabilité sont remises en question. Les décisions du peuple ne sont plus respectées. Le peuple et les cantons ont, par exemple, approuvé la gestion autonome de l’immigration et l’expulsion des étrangers criminels, mais les politiciens refusent d’appliquer ces décisions en invoquant le droit international.
L’initiative pour l’autodétermination « Le droit suisse au lieu de juges étrangers » pose les principes suivants: