Rien de plus hypocrite que les lamentations des socialistes et des écologistes à propos du prétendu refroidissement social en Suisse. Cela fait longtemps que la gauche suisse ne fait plus de politique sociale. Bien au contraire, l’agenda du chef socialiste Christian Levrat et consorts est directement dirigé contre la population laborieuse, contre les personnes à revenu modeste, contre les salariés, contre les locataires, contre les familles, contre les épargnants, contre les pendulaires, contre les propriétaires de leur logement, contre les régions rurales et contre les arts et métiers. Ce que la gauche et les Verts appellent politique sociale est en réalité une politique irresponsable et antisociale de mise sous tutelle et de rééducation par l’Etat.
document de fond intitulé « L’arnaque écolo-socialiste contre la classe moyenne »
La gauche ne veut qu’une chose: de l’argent, de l’argent et encore de l’argent. Elle se sert effrontément dans les portemonnaies des citoyennes et des citoyens. Les interventions politiques des socialistes et des Verts visent principalement à priver les femmes et des hommes de leur propriété, à leur prendre leur argent durement gagné pour le redistribuer. Et comme c’est à la mode, ils usent et abusent de thèmes écologistes.
Dans son nouveau document de fond intitulé « L’arnaque écolo-socialiste contre la classe moyenne », l’UDC fait le compte de ce que la politique du chef socialiste Christian Levrat et consorts coûte aux citoyennes et aux citoyens. Légumes bios, voitures électriques, électricité solaire, logements énergétiquement efficaces, moins d’avions – de belles idées, mais cette politique écologiste augmente facilement les charges d’un ménage moyen de plus de 20’000 francs par an. « Combien faut-il gagner pour avoir les moyens de voter socialiste ou Verts », a demandé Albert Rösti, président de l’UDC, devant les médias à Berne. Question justifiée, car cette politique de la gauche et des Verts est profondément antisociale et irresponsable: « Cette politique frappe avant tout les revenus modestes et la classe moyenne, des jeunes gens en formation, des familles, des pendulaires et des locataires, toutes celles et tous ceux qui se lèvent tous les matins et retroussent leurs manches pour travailler. »
Voici d’un seul coup d’œil ce que la politique socialo-écologiste signifie pour votre porte-monnaie:
La gauche avide d’argent veut supprimer les déductions fiscales
Bien que la Confédération, les cantons et les communes encaissent chaque année plus d’impôts et de redevances diverses, le PS et les Verts cherchent constamment à ponctionner encore plus la population laborieuse, aussi bien par des hausses des tarifs fiscaux que par de nouvelles taxes comme celle sur le CO2. « La suppression de déductions fiscales comme celles pour les enfants, les pendulaires et les assainissements immobiliers écologiques est une mesure particulièrement perfide », constate Thomas Aeschi, président du groupe parlementaire UDC. Les socialistes et les écologistes pénalisent ainsi surtout les familles, les employés, les épargnants et les propriétaires de leur logement, « donc en réalité la population laborieuse qui assume ses responsabilités », relève encore Thomas Aeschi.
Par sa politique irresponsable, la gauche menace l’emploi. L’économie suisse se porte certes encore bien, mais cela peut rapidement changer et un ralentissement se dessine d’ores et déjà. Cela n’empêche nullement la gauche de lancer dans son programme économique des revendications comme la semaine de 35 heures sans réduction de salaire, six semaines de vacances pour tous, un congé parental d’au moins 38 semaines et d’autres propositions excessivement coûteuses. Pour payer ces folies, le PS a recours comme de coutume au portemonnaie des contribuables.
D’une manière générale, nous assistons à un gonflement constant de l’Etat. Les dépenses fédérales ont plus que doublé depuis 1990. « Il est grand temps de rappeler à la gauche que chaque franc dépensé doit d’abord être gagné », a déclaré le conseiller national UDC Michaël Buffat: « Les dépenses de la Confédération ont augmenté en moyenne de 3% par an, donc plus rapidement que l’économie. »
« Nous vivons déjà dans une sorte de demi-esclavage par rapport à l’Etat », a affirmé la conseillère nationale UDC Diana Gutjahr: « La moitié de l’année nous trimons pour un Etat toujours plus vorace et plus puissant. » Comme chef d’entreprise, elle sait très bien qu’il n’est pas possible de relever simplement les prix pour rétablir l’équilibre entre les charges et les produits. « L’augmentation de l’efficacité et un contrôle rigoureux des coûts sont les seuls moyens de réagir. »
Mais pour la gauche, ce sont là des notions totalement étrangères. Les socialistes et écologistes visent exactement l’inverse en proposant des absurdités comme le versement de 2500 francs par mois à chaque habitant de Suisse. Juste comme ça. Pour ne rien faire. C’est exactement le but visé par l’initiative populaire « pour un revenu de base sans condition » lancée par la gauche. Il suffirait que deux fainéants se réunissent pour toucher 5000 francs par mois – plus que ce que de nombreux salariés reçoivent pour un travail honnête.
Seule l’UDC fait face aux pilleurs de la gauche
L’UDC est le seul parti à faire face au chef socialiste Christian Levrat et consorts, le seul parti qui se bat avec détermination contre la mise sous tutelle et la rééducation des citoyennes et citoyens et contre la ruée socialo-écologiste sur les contribuables. Et aussi contre la perte d’emplois provoquée par les revendications socialistes qui renchérissent le travail en Suisse.
Celles et ceux qui veulent renforcer la classe moyenne, qui refusent de punir l’effort et qui veulent sauvegarder la prospérité durement gagnée de la Suisse, doivent voter UDC.