Si le peuple suisse rejette la libre circulation des personnes, il rend aussi service à l’économie. En période de crise, le chômage augmente et les caisses des assurances sociales se vident.
En fin de compte, c’est l’économie, donc les salariés et les employeurs, qui doivent effacer l’ardoise par une augmentation
Si le peuple suisse rejette la libre circulation des personnes, il rend aussi service à l’économie. En période de crise, le chômage augmente et les caisses des assurances sociales se vident.
En fin de compte, c’est l’économie, donc les salariés et les employeurs, qui doivent effacer l’ardoise par une augmentation des déductions sur les salaires et une hausse de la TVA. Un non le 8 février est donc également un non au pillage de l’assurance-chômage, à des œuvres sociales ruinées et à une hausse du chômage.