Réunis en assemblée samedi dernier à Näfels (GL), les délégués de l’UDC Suisse ont adopté une résolution sur la criminalité étrangère et les problèmes qui résultent de l’accord de Schengen. Ils ont…
Réunis en assemblée samedi dernier à Näfels (GL), les délégués de l’UDC Suisse ont adopté une résolution sur la criminalité étrangère et les problèmes qui résultent de l’accord de Schengen. Ils ont aussi demandé une analyse des conséquences de Schengen pour pouvoir éventuellement proposer en automne 2010 d’une résiliation de cet accord. D’ici là, les délégués UDC exigent que la Suisse renonce à toute modification légale et dépense supplémentaire en rapport avec l’accord de Schengen.
L’assemblée a aussi posé un jalon clair et net contre l’immigration clandestine. L’UDC rejette avec détermination la légalisation desdits sans-papiers. Les délégués ont même renforcé le projet de résolution à ce propos. On constate en effet que des autorités publiques violent sciemment la législation sur les étrangers en couvrant les personnes en séjour clandestin. Cette pratique intolérable prend pied notamment dans les villes gouvernées par la gauche. Les délégués UDC ne peuvent pas admettre ces agissements illégaux. Ils exigent que les autorités, qui violent la législation sur le séjour des étrangers, soient poursuivies pénalement. De surcroît, ils demandent que les citoyennes et citoyens puissent payer leurs impôts et redevances sur un compte bloqué aussi longtemps que leurs autorités se meuvent dans l’illégalité. Enfin, les délégués se sont clairement prononcés en faveur de l’initiative populaire pour le renvoi des étrangers criminels tout en rejetant le contreprojet mou et inefficace préparé par le Parlement fédéral. Pour lire la résolution complète du 1er mai 2010 concernant la criminalité étrangère et l’accord de Schengen, cliquez ici.