Alors que certains nous préparent une Suisse à 10 millions d’habitants, la situation est hors de contrôle aujourd’hui déjà. La vague migratoire que nous subissons depuis trop longtemps entraîne des conséquences pour le moins fâcheuses. Pénurie de logements, trains bondés, autoroutes saturées ne sont que quelques exemples des effets délétères de notre politique migratoire insensée. Désormais, ce sont les autorités judiciaires qui tirent le signal d’alarme.
Les tribunaux n’arrivent plus à suivre. C’était prévisible : lorsque le nombre de justiciables augmente, il faut bien adapter les capacités de la justice. Nous ne l’avons pas fait. Nous nous retrouvons donc dans une impasse. Le problème s’aggrave à la vitesse grand V dans la mesure où la population étrangère qui s’établit chez nous présente une propension nettement plus élevée à la délinquance que les habitants de longue date.
Il y a de plus en plus d’arrivants et parmi eux, un potentiel criminogène plus élevé que la moyenne suisse. Cela conduit bien sûr à une véritable paralysie judiciaire, à l’image de ce qu’on déplore régulièrement sur nos grands axes routiers. Cette situation inacceptable doit être corrigée au plus vite.
Une justice plus rapide et plus rigoureuse
On ne saurait tolérer plus longtemps que les auteurs échappent à toute sanction pour cause de saturation judiciaire tandis que la victime attend en vain qu’on lui rende justice. Les procédures doivent être simplifiées afin de rendre justice rapidement, le temps qui passe étant l’ennemi des jugements équitables. Il faut également plus de rigueur s’agissant de l’expulsions des criminels étrangers qui surchargent nos tribunaux, vu le taux de récidive élevé.
Il est temps de tourner le dos à la justice de gauche, celle qui se préoccupe du confort des criminels et leur facilite la vie. Pour nous, ce sont les victimes qui doivent retenir l’attention des tribunaux car, avec Joseph Joubert, nous considérons que la justice est le droit du plus faible.