La Suisse est actuellement submergée de faux demandeurs d’asile. En octobre, plus de demandeurs d’asile sont entrés dans notre pays que de personnes déplacées par la guerre en Ukraine. Plus de 3’200 demandes d’asile ont été déposées par des Afghans, des Erythréens, des Turcs, etc. Et cela en un mois !
On se demande alors comment ces personnes arrivent en Suisse. Selon les théoriciens de Schengen-Dublin, l’asile est demandé dans le premier pays sûr où le demandeur d’asile arrive. Par conséquent, personne ne devrait déposer en Suisse une demande d’asile en provenance des pays susmentionnés. Mais les bandes de passeurs et les migrants économiques savent depuis longtemps que la Suisse est un paradis, du moins pour les demandeurs d’asile, car ici, ils sont payés à ne rien faire.
Un Africain sur trois en Suisse vit de l’aide sociale
Le nombre de bénéficiaires de l’aide sociale originaires d’Afrique a littéralement explosé au cours des 14 dernières années, passant à 38’700 personnes. Le taux d’aide sociale s’élève à 34.6%. Un Africain sur trois, qui pourrait travailler, vit aux frais de la collectivité. En comparaison, chez les Suisses, le taux d’aide sociale est de 2.3%.
Des hommes jeunes et vigoureux continuent d’arriver dans notre pays pour y déposer une demande d’asile. Ceux qui ne l’obtiennent pas ne sont pas pour autant renvoyés. 65’126 migrants vivent en Suisse au détriment de la population qui travaille sans avoir obtenu le droit d’asile et l’office fédéral en charge n’agit pas.
L’échec de l’UE sur la protection des frontières
Voilà pourquoi il faut maintenant renforcer la protection des frontières. Nous devons stopper ce flot de profiteurs de l’asile, car bien que nous payions toujours plus d’argent pour la protection des frontières extérieures de l’UE, de plus en plus de migrants économiques arrivent dans notre pays. L’échec de l’UE sur la protection des frontières est manifeste et nous en payons le prix !
Nous ne pouvons plus rester les bras croisés. Ces migrants n’ont pas le droit d’entrer dans notre pays. Protégeons à nouveau nous-mêmes nos frontières, mobilisons l’armée à cet effet si nécessaire.