Jeudi dernier, une cabane forestière communale était incendiée aux Verrières (NE), à proximité du centre fédéral d’asile pour « requérants problématiques » au hameau adjacent des Cernets. Cet acte criminel a été commis par un requérant d’asile égyptien de 23 ans, qui avait été préalablement signalé pour un comportement agressif et des dégradations de matériel public. Le chaos de l’asile a de nouveau frappé ; un résultat de la politique migratoire ratée de la majorité de centre-gauche du Parlement et du Conseiller fédéral en charge, le socialiste Beat Jans.
Quand j’ai vu ça, je me suis posé tout un tas de questions : Pourquoi des requérants considérés comme problématiques (comprenez : violents, turbulents, etc.) peuvent se balader librement, sans surveillance ? Pourquoi ce genre de requérant est-il encore dans notre pays ? Comment se fait-il que des migrants de pays où l’on peut partir en vacances (EasyJet a des lignes directes pour les pays du Maghreb depuis Genève) peuvent venir déposer des demandes d’asile en Suisse ?
Je suis révolté par cet acte criminel, qui aurait pu prendre une tournure bien plus dramatique ; la sécheresse menace souvent dans nos régions, la forêt aurait pu prendre entièrement feu. Il y a des habitations à proximité immédiate de ce lieu ; et si ce migrant criminel avait décidé de bouter le feu à une maison (et ses occupants) ?
La destruction par le feu de ce lieu de convivialité très prisé des locaux est d’ores et déjà dramatique. Mais cet incendie n’est pas un cas isolé ; tous les jours, des crimes et des délits sont commis en Suisse par des étrangers. Les dernières statistiques de la criminalité sont édifiantes : 58% de tous les cas sont commis par des étrangers (soit près de 6 cas sur 10), alors que les étrangers ne représentent que 25% de la population. Cette surreprésentation ne peut (et ne doit) pas être ignorée. La présence du centre fédéral des Verrières engendre de nombreuses nuisances : vols, cambriolages, harcèlement dans les transports publics, violences, nuisances… la population n’en peut plus !
Il est urgent de reprendre le contrôle de notre immigration, afin de juguler cette criminalité importée qui n’en finit pas d’augmenter. Pour ce faire, j’appelle tout un chacun à signer sans attendre l’initiative pour la protection des frontières, car cet outil démocratique nous permettra de faire face efficacement à cette problématique.